lundi 7 janvier 2019

Grippé

Globalement, c'est en deux tendances principales que l'on peut classer nos adversaires, comme nous avons eu l'occasion de le dire. 
 1) les prohibitionnistes stricto sensu.
Ils sont très peu nombreux, c'est une tendance que l'on peut qualifier de marginale. 
Leur position est claire : rendre les français rigoureusement abstèmes.
Nous disons bien «les français»  car on ne les a jamais entendu s'insurger contre les exportations de produits comportant de l'éthanol comme certains, par exemple, peuvent contester les exportations opérées par l'industrie de l'armement...
◆ 2) beaucoup plus conséquente est la tendance dont on pourrait résumer ainsi la doctrine : «le vin pour les riches».
Le "jus de la treille" pour le "haut du panier" !
Un peu sur le modèle de la communion sous les deux espèces... réservée aux clercs.
Pour ceux qu'elle regroupe, l'idée est d'amener fiscalement la bouteille de "divin breuvage" à un prix minimum difficilement atteignable par «les gens qui ne sont rien»... sachant que les produits concernés par cette augmentation sont d'ores et déjà bien souvent méprisés et rarement consommés par la caste à laquelle ils appartiennent.
Quel serait ce prix ?
Probablement 5 €.
Sur quelle base, cette estimation ?
Une base sérieuse que nous indiquerons dans un prochain article... et ce sera l'occasion, amis lecteurs, de s'amuser un peu !
Toujours est-il que 5 € cela représente environ 130% du prix moyen pratiqué aujourd'hui. 
Et qu'à 130% du revenu moyen français, on est dans les tranches sociales qui se situent à partir de "moyenne supérieure". 
En comprenant bien sûr "aisée" et "supérieure".
Au mieux, 20% de la population. 
En comptant les personnes à revenus plus modestes mais demeurant à proximité relative des frontières, disons que l'on peut parvenir à 25%.
Donc 75% de la population privée d'œnoptimisateur cérébral... et un ascenseur social complètement grippé. 
De quoi irriter "Gilles et John" !

Autre chose (qui n'a rien à voir, quoique...)
Consultons cette liste de personnes que nous connaissons depuis longtemps : http://www.securite-sanitaire.org/generalites/qui2017.html.
On peut lire ceci concernant un ancien membre d l'équipe : «François Bourdillon nous avait rejoint en 2012. Il a été nommé directeur général de l'Agence nationale de santé publique le 6 juin 2015 et cette fonction ne lui permet pas de poursuivre une action comme celle de notre groupe, qui doit nécessairement se situer en dehors des activités relevant de la démarche publique.»
Question : l'activité du Programme National Nutrition Santé ne relève-t-elle pas de la demarche publique ?
Rappel : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Serge_Hercberg.

Article lié 
https://www.lanutrition.fr/loeil-de-thierry-souccar/mais-que-fait-le-patron-de-la-nutrition-francaise-dans-une-pub-pour-le-pain-

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