lundi 27 août 2018

Washington

À Washington, dans la Maison Blanche, depuis
désormais plus de 20 mois le celebre Oval Office est celui d'un président abstème, très amateur d'une certaine "limonade brune" :  http://honneurduvin.blogspot.com/2017/05/trump-180.html.
Et c'est de Washington, portée par la voix de la Dr Emmanuela Gakidou de l'Institut de métrologie et d'évaluation de la santé (IHME, Université de Washington), porte-parole et co-auteure d'une étude publiée par la revue "The Lancet"... qui a été l'occasion pour la bandacoca, depuis vendredi dernier (24/08), de déclencher une nouvelle et terrible "vague scélérate".
Cette étude, en voici la présentation : https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(18)31571-X/fulltext.
Pour ne rien cacher à nos lecteurs, nous avons, commencé par la conclusion, là où se trouvent les préconisations. 
C'est une méthode que nous employons régulièrement afin de nous faire rapidement une idée sur l'objectivation préalable du document : c'est souvent par la fin qu'on decouvre l'avant-début. 
Notre attention a été d'emblée attirée par ces 2 membres
de phrases : «Les moyens les plus efficaces et les plus rentables de réduire les méfaits liés à l’alcool sont de
réduire l’accessibilité par la fiscalité ou la réglementation des prix, en fixant un prix minimum par unité...» et «l'augmentation de la fiscalité crée des revenus pour les ministères de la santé».
Bon ! On connaît, on est habitués : catégorie "Bullshit à visée fiscale".
Cela n'empêchant pas que nous reviendrons plus tard sur certains points intéressants... de ce qui ressemble aussi beaucoup à la préparation d'un certain centenaire.
Celui de la Dry Law : https://www.histoire-et-civilisations.com/loi-seche-prohibition-aux-etats-unis/.

Quelques remarques en attendant
 ●1) Décidément, campagne ciblée l'année dernière (https://www.vitisphere.com/actualite-85966-Le-tire-bouchon-de-trop-actualise.htm), "vague scélérate" cette année, la période des vendanges semble à certains propice ! 
 ●2) Chacun aura remarqué que, contrairement au PDF du texte integral, le document de présentation cité comporte une illustration ciblant tout particulièrement le "divin breuvage".
Mais il est à noter aussi que que le mot "wine" n'est pas explicitement écrit. 
Les médias français, dans le cadre de cette "nouvelle vague", n'a pas toujours eu le même scrupule.
Dans notre revue de presse, depuis le 24/08, nous avons sur-ligné en jaune le mot "vin" chaque fois qu'il figure dans un titre : http://honneurduvin.blogspot.com/2018/04/revue-de-presse.html.
 ●3) Cest à regret que, ne disposant pas du temps nécessaire nous battre sur plusieurs fronts à la fois, nous suspendons dans l'immédiat notre série "Picto".
En profiteront-ils ?
Probablement. 

Nota Bene
Cet article inaugurera notre dossier "Sponsoring".

Sain copinage 
Lire aussi quelle a été la réaction immédiate de l'ami Lalau :  https://chroniquesvineuses.wordpress.com/2018/08/24/vous-reprendrez-encore-bien-un-peu-de-desinformation/. `

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