mercredi 9 mai 2018

Black blocs marris

Les défenseurs du "divin breuvage", bien évidemment, partagent, au sujet des "black blocs", l'opinion de la plupart des français. 
Et en particulier concernant leur comportement du 1er mai dernier :
Par contre, force est de reconnaître qu'à cette occasion ils ont involontairement rendu service à la cause que nous défendons. 
Nous ne parlons pas là, bien entendu, du saccage d'une certaine échoppe malbouffisante.
                                                 https://m.youtube.com/watch?v=70DtM5_n1BE
Car nous, c'est d'une autre manière que nous luttons contre la cocacolonisation : par les arguments. 
Mais force est de constater que les images violentes de ces déprédations, tournant en boucle dans les médias télévisuelles ont largement occupé les esprits au moment où était déclenchée par l'AFP une vague médiatique concernant la décision récemment mise en œuvre par le gouvernement écossais, laquelle décision consiste à appliquer un "prix plancher" à toutes boissons éthanoliques... y compris le vin.
Vague qui, bien que progressivement faiblissante, dura 4 jours : voir notre extrait de revue de presse "Spécial Écosse".
Mais c'est aussi 4 jours que les esprits furent occupés par la question de savoir si les énergumènes allaient réitérer le samedi suivant : https://www.franceinter.fr/societe/les-black-blocs-vont-ils-s-inviter-a-la-fete-a-macron-organisee-a-paris.

Et la vague passa inaperçue !
Il faudra donc aux œnophobistes revenir plus tard sur l'"exemple écossais"... 
Mais alors ça risque de "sentir le réchauffé".
Ou alors trouver autre chose : nous n'avons jamais douté de leur potentiel imaginatif...

Mais il est un effet collatéral à notre avis éminemment savoureux et que nous tenions à souligner : les black blocs, compte tenu de leur idéologie, doivent être fort marris d'avoir été utiles à «l'âme française» !

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