mardi 19 avril 2016

Primaire pré-présidentielle

Avis aux amateurs !
Le parti du vin va présenter un candidat à l'occasion des élections visant à désigner le prochain président de la République Française.
Pourquoi pas ?
La cause est si belle à défendre !
Et si tentante à saisir l'occasion de faire passer un message essentiel !
Donc, en toute logique, pour sélectionner un candidat, des primaires vont être organisées.
Les personnes intéressées sont priées de se faire connaître ici.

Non ! On rigole ! La politique c'est pas notre truc.
Et nous n'y connaîtrions pas grand chose si nous n'étions obligés de nous y intéresser face aux manœuvres de nos adversaires qui eux ont choisi comme stratégie l'infiltration dans un certain ministère...

Erreur
Il y a une semaine, l'une de nos vieilles connaissances,
M. Jean-Marie Le Guen, relançait un débat sur la consommation de cannabis.
Un débat sur le fond duquel, comme d'habitude, nous n'entrerons pas.
En revanche, à cette occasion, on a pu entendre évoquée l'hypothèse selon laquelle l'actuel secrétaire d’État chargé des Relations avec le Parlement, loin de s'exprimer à titre personnel comme il le prétendait, agissait en fait pour le compte du gouvernement.
Lequel chercherait par là à déplacer certains débats en cours ou à s'attirer les bonnes grâces d'une partie de la population.
Si c'était le cas, nous nous permettrions de dire que le fait d'avoir utilisé précisément ce monsieur à cet usage pourrait être qualifié d'erreur.
En effet, nul n'a oublié le rôle éminent qu'à jadis joué M. Le Guen dans l'adoption de la loi dite Évin.
Ni sa capacité de mobilisation dans certains combats ultérieurs contre le "divin breuvage".
Or nous avons maintes fois ici démontré qu'en général les adversaires du vin étaient partisans de la dépénalisation du cannabis, voire de la légalisation de cette substance.
De là à subodorer une certaine corrélation...
Un sentiment qui pourrait se trouver confronté par cette intempestive intervention.
Or, il s'est avéré ces derniers mois que les ennemis du vin et leurs obligés étaient minoritaires au sein du gouvernement en place.
Aussi ne croyons-nous pas en l'hypothèse ci-dessus évoquée.
Mais bien plutôt à une initiative solitaire.
Enfin, solitaire...
Il est des vieilles complicités qui ne s'éteignent jamais totalement, n'est-ce pas ?

Alerte
Un combattant historique du vin, notamment au sein de notre association, nous en a informé récemment.
Ce soir, à la télévision, sur la chaîne Arte, est annoncé un documentaire intitulé "Pour en finir avec la guerre des drogues".
Voir de quelle manière dans la presse spécialisée : http://www.programme-television.org/documentaires/societe/pour-en-finir-avec-la-guerre-des-drogues#138350758.

Il y a longtemps que l'assimilation à la drogue est recherchée par les œnophobistes.
Lesquels, malgré tous leurs efforts d'officialisation (ils sont bien placés...) ne sont jamais parvenu à en convaincre le peuple de France.
Rappel : étymologiquement, et de la manière la plus probable, drogue est rattaché au mot "sec" ("produit sec") : http://www.littre.org/definition/drogue.
Même racine germanique que le mot anglais dry.
Or le vin est liquide.
Et sa petite partie "extraits secs" est essentiellement constituée de polyphénols.
Anti-oxydants, bénéfiques, salvateurs : jusqu'à présent nul n'a osé en disconvenir.
Mais peut-être n'avons nous pas encore tout vu en matière de manipulation ?

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