lundi 16 décembre 2013

Prudence « recto-verso »

Nous avons reçu récemment par téléphone une information assez désagréable à entendre mais que nous n'avons pu vérifier, raison pour laquelle nous n'en révélerons pas la teneur exhaustive.

 Cependant, nous nous devons d'en tenir compte, nous semble-t-il, car elle émane d'une source qui, jusqu'à présent, a toujours été d'une grande fiabilité.
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 C'est pourquoi, en l'occurrence, nous avons choisi la voie de la "prudence recto-verso".
C'est à dire que nous n'avons voulu :
a) ni prendre le risque de sembler vouloir faire un procès d'intention et insulter l'avenir,
b) ni nous exposer à perdre la confiance de nos fidèles lecteurs, qui pourraient être amenés plus tard  à nous adresser certains reproches dans le genre : «Vous saviez et vous nous avez induit en erreur, vous êtes donc complices de cette capitulation, &c...»
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 Par conséquent, dans l'immédiat, nous nous sommes limités à modifier le texte de notre article précédent au moyen d'une seule et courte phrase ajoutée.
 Après «Mais bien sûr, aucun de ces successeurs n'envisage de laisser, au terme de son mandat, une situation en régression par rapport à celle qui prévalait lors de sa prise de fonction.» (à peu près à la moité du texte), nous avons ajouté : «Du moins nous l'espérons»...
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Petit bonus : un commentaire que nous avons trouvé amusant  a été posté sur notre article du 4 dernier : http://www.honneurduvin.com/double-langage/#comments.

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