Nous avons toujours essayé, dans le combat que nous menons, de ne pas hésiter à reconnaître certains mérites à nos adversaires lorsque l'occasion se présentait.
En l'occurrence, force est de reconnaître que nos vieux adversaires de l'INCa ont été les premiers, hier 26/02 à se
mettre à jour en citant le BEH du 19/02 : https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Reduire-les-risques-de-cancer/Alcool.
mettre à jour en citant le BEH du 19/02 : https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Reduire-les-risques-de-cancer/Alcool.
Échappant ainsi à l'obsolescence quasi-généralisée que nous avons mise en lumière récemment : http://honneurduvin.blogspot.com/2019/02/obsolescence.html.
Et force est de constater que le ton des recommandations s'est un peu adouci :
« ◆ ne pas consommer d’alcool régulièrement ;
en cas de consommation d’alcool,
◆ réduire autant que possible sa quantité comme sa fréquence.»
En tout cas depuis l'époque où cet institut était présidé par une personne qui dès sa prise de fonctions demandait «à tout le monde d'arrêter de boire» (France Info 07/02/2013, entretien enregistré par nos soins).
Et, par la suite (10/11/2017) n'hésita pas à déclarer, concernant le tabac et surtout l'"alcool" : «... malheureusement, je ne les interdit pas ! J'aimerai bien, peut-être !».
Cf. notre article "Y a d'l'abus... zinzin !" : http://honneurduvin.blogspot.com/2017/11/y-dlabus-zinzin.html,
Cela étant dit, bien évidemment, nous aurions bien des choses à dire sur le contenu global de cette mise à jour.
Nous le ferons peut-être un jour mais, pour l'heure, nos nous contenterons de nous étonner que des personnes se considérant scientifiques continuent à dénommer «alcool» ce qui se nomme éthanol...
Cf. notre article du 19/03/2018 : http://honneurduvin.blogspot.com/2018/03/quest-ce-que-lalcool.html.