G, Oui, ami John, cette nervosité, ces tensions m'inquiètent beaucoup.
J'aimerai pouvoir agir dans le sens à plus de sérénité pour mon pays mais voilà : j'habite à la campagne, je n'appartiens à aucun réseau... mes moyens capacités d'action sont très limitées.
J. Si tu n'avais pas pris une voie inverse à la mienne en t'éloignant de la foi de ton enfance, je te proposerai bien
G. Dis toujours.
J. Eh bien, à ta place, j'adresserai une prière à Saint Bacchus (*), martyrisé au IVº siècle dans des conditions faisant référence aux vendanges et à la vinification.
G. Ah ça !... Je t'avoue que je ne m'attendais pas à une telle proposition !
Et comment la formulerais-tu, toi, cette prière ?
J. À toi de trouver les mots, mais tu pourrais t'inspirer d'une phrase de Properce, poète latin contemporain du Christ (**).
En l'adaptant, bien sûr.
G. Et quelle est cette phrase ?
J. En l'occurrence, il s'agit d'une supplique qui se situe au tout début de l'Élégie XVII : « Maintenant, Bacchus, c'est au pied de tes autels qu'humblement je me prosterne ; dieu puissant, rends la paix et le calme à mon âme.» (***)
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Bacchus (saint)
(**)
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Properce#cite ref-10
(***)
https://mediterranees.net/civilisation/amour/properce2/properce3.html
Article associé :
http://honneurduvin.blogspot.com/2018/12/lien-social.html.
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