Nous interrompons notre série "Attente impatiente" pour annoncer à nos fidèles lecteurs une excellente nouvelle !
En effet, nous avons appris hier, grâce à l'association Vin & Société, elle même informée par une éminente personnalité du Comité national des Interprofessions des Vins à Appellation d'Origine (CNIV), que la Cour de Cassation avait refusé de renvoyer devant le Conseil Constitutionnel la Question Prioritaire de Constitutionnalité soulevée par la Société Ricard accompagnée de 2 comparses !
Voici le premier "flash" porté à notre connaissance : http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/03/19/97002-20130319FILWWW00502-info-figaro-taxe-spiritueux-les-industriels-retoques-par-la-cour-de-cassation.php.
Nous avions exposé dans notre article du 4 mars dernier les risques liés à cette initiative.
C'était, à notre avis, le plus grave des dangers qui planait sur le vin... mais les autres subsistent !
En d'autres temps et sur d'autres thèmes, certains disaient : "ce n'est qu'un début, continuons le combat".
En l'occurrence, nous faisons donc notre cette formule.
D'autre part, nous avons également appris hier, à peu près à la même heure, la démission de Mr Jérôme Cahuzac de son poste de Ministre du Budget.
Bien évidemment, nous ne commenterons pas cette décision ni les raisons qui l'ont motivée.
Par contre, nous rappellerons à cette occasion que nous n'avons jamais caché être très attentif au fait que le ministre en charge d'établir la fiscalité soit celui-la même qui avait rédigé la funeste loi Évin.
Et cela selon ses propres dires : Click (voir 1° phrase du 2° §).
Un homme dont les débuts en politique opérationnelle, selon cet article, ont été "parrainés" par le Dr Claude Got, inspirateur principal de la dite loi et infatigable leader œnophobe. (lire 6° § : "Troisième étape : l'attaque").
Pour ces raisons, nous ne sommes pas trop moroses ce matin.
Et pour d'autres, que nous ne révélerons pas, une sorte de vague félicité s'empare de nous en constatant la nomination de Mr Bernard Cazeneuve... sans toutefois, bien entendu, que toute prudence nous abandonne !
Par contre, puisque nous en sommes à parler d'actualité, force nous est de signaler que nous avons été amené à réactiver notre vigilance à l'égard d'un autre grand acteur de la loi Évin, son rapporteur à l'Assemblée Nationale : Jean-Marie Le Guen.
Nous avons en effet appris en fin de semaine que ce dernier avait renoncé à convoiter le poste de premier magistrat de la ville de Paris : Click.
Cela nous serait resté relativement indifférents si ne nous été revenu aux oreilles que certaines mauvaises langues prétendraient qu'une sorte de compensation avait été préalablement négociée à un très haut niveau.
Si cette rumeur doit par la suite être avérée, elle n'appellera aucun commentaire de notre part, mais à une condition toutefois : que cela n'ait pas conduit Mr Le Guen à se retrouver à nouveau en position d'exercer ses talents prohibitionnistes, bien sûr !
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