Quand l'"âme française" est traînée dans la boue, c'est avec une réelle irritation, bien évidemment, que la plupart de nos lecteurs le constatent
Depuis le 7 février dernier, nous vivons une telle séquence quasi-quotidiennement.
En même temps, il est fort probable qu'une grande partie d'entre eux, plus ou moins régulièrement, achète journaux, magazines ou revues de diverses nature.
Dans ce contexte, lors de l'achat, le refus de la diabolisation du "divin breuvage" peut éventuellement se traduire en sélectionnant autant que possible ceux de ces médias qui ne la pratiquent pas.
Et qui se refusent à relayer les arguments diabolisateurs.
Le pire étant quand amalgames et stigmatisation s'expriment au travers des titres des articles.
Même si le contenu de ces articles s'avère in fine beaucoup plus objectif que ce que lesdits titres pouvaient laisser supposer.
Car pour diverses raisons bien évidentes, notamment par leur plus grande visibilité et par l'effet "première impression", les titres impactent d'avantage les esprits.
Et d'avantage d'esprits.
Pour repérer ces supports infamants, une technique efficace peut être utilisée : "googliser" concomitamment les mots «vin» et «alcool».
Ou «lobby» et «viticole».
Information
Depuis le 7 février, nous avons ouvert une revue de presse, on y trouve le bon et le moins bon.
Nous la tenons régulièrement à jour : http://honneurduvin.blogspot.fr/2018/03/revue-de-presse.html.
Et nous continuerons !
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