Ne pas rendre service à l'adversaire, préférer le silence... du moins dans un premier temps !
À quelle occasion énonçons-nous ce principe ?
Mardi dernier nous avons très tôt été informés qu'une nouvelle campagne manifestement orientée contre le vin était apparue (voir ci-contre).
Laquelle campagne était co-signée par le Ministère des Solidarités et de la Santé (titulaire : Mme Agnès Buzyn) et L'Institut National du Cancer (ex-présidente : Mme Buzyn Agnès).
Pourquoi avons nous choisi de ne pas réagir... du moins perceptiblement ?
Parce qu'il nous a semblé qu'il pouvait s'agir d'une manœuvre d'"enfumage" relativement classique.
À savoir créer une polémique artificielle pour en couvrir une autre beaucoup plus menaçante.
Laquelle ?
Celle portant sur le levothyrox.
Polémique dont nous avions estimé fin août qu'elle allait bientôt considérablement monter en puissance... sans penser alors que les services du Ministère de la Santé avaient au même moment fait la même analyse, ni imaginer qu'elle serait leur réaction.
Quels étaient les éléments permettant de prévoir cette montée en puissance ?
Pour le savoir, lire notre article "Excellente actrice".
Donc, à partir de l'hypothèse de l'"enfumage camouflant", nous avons logiquement décidé non pas, bien sûr, de rester, mais de n'agir que sans bruit ni visibilité au moment où la campagne "anti-tire-bouchon" est apparue.
Bonne nouvelle : le lendemain et les jours suivants, on ne compta qu'un très faible nombre d'articles consacrés à ce sujet.
Exemple parmi peu d'autres : http://www.huffingtonpost.fr/2017/09/08/un-detail-sur-cette-affiche-contre-le-cancer-fache-certains-vignerons_a_23201210/.
Par contre, 3 jous plus tard, la "déferlante levothyrox" déferla.
Avec même une manifestation à l'appui dans les rues de Paris.
Amis lecteurs, si vous vous amusez à taper sur "recherche" le mot "levothyrox"en précisant "actualités" : vous verrez quel tsunami se déclencha ce vendredi là !
Et mit quelque temps à se retirer les jours suivants...
Bon, en tout cas, nous voilà prévenus !
Mme Buzyn a prévu que bientôt, pour les enfants, 11 vaccins seraient obligatoires... cela pour la plus grande joie des laboratoires pharmaceutiques.
Lorsque la polémique sur cette décision montera en puissance (à tort ou à raison mais sans nul doute) : rebelote fortement possible.
À moins que le présent billet puisse avoir un effet préventif...
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