mardi 30 mai 2017

Politique et philosophie

On le sait depuis "La République" et "Le Banquet" de Platon : vin et démocratie sont indissociables. 
D'ailleurs, il est facile de constater qu'aujourd'hui, des dizaines de siècles plus tard, les citoyens géographiquement les plus immergés dans la civinlisation sont ceux qui accomplissent le plus consciencieusement leur devoir d'électeurs. 
Démonstration.
 
Le département qui compte le plus de cavistes par habitants est la Côte d'Or, préfecture Dijon. 
Celui qui en compte le moins est la Seine-Saint-Denis, préfecture Bobigny. 
Dijon : 28 cavistes. 
Bobigny : 0.
Participation au premier tour des élections présidentielles. 
Dijon : 80%.
Bobigny : 64,46%.
Pour rappel, moyenne nationale : 77, 37%.

Platon, en fait,  transcrivait les propos de Socrate, le philosophe par excellence. 
http://irremediables.e-monsite.com/page/categories/essais-philosophiques/le-role-du-vin-dans-la-philosophie-antique-grecque.html
Il est infiniment bon de savoir que la démocratie est fille de la philosophie !
 
«Il y a plus de philosophie dans une bouteille de vin que dans tous les livres.» (Louis Pasteur)
Ah ! si l'on pouvait "pasteuriser" les toxines œnophobisantes!
Histoire de philœniser ceux qui en sont porteurs...

lundi 22 mai 2017

Parallèlement

Sans nul doute, les laboratoires pharmaceutiques savent très bien lire les évolutions et comprendre les rapports qui existent entre elles.
C'est essentiel dans leur métier.
Car dans tous les métiers de production, il faut vendre le plus de produits possible et quand la consommation baisse, il faut comprendre pourquoi.

Baisse de la consommation, c'est ce qui s'est passé entre 2012 et 2015 concernant les anxiolytiques :  http://www.francetvinfo.fr/sante/medicament/la-france-consomme-toujours-beaucoup-d-anxiolitiques_2132741.html.
Bien entendu, les professionnels ont observé qu'en la même période le nombre de non-consommateurs de vin avait également baissé (voir tableau).
Alors que pendant les plusieurs décennies précédentes, c'est l'inverse qui s'était produit dans l'un et l'autre cas.
Tout aussi parallèlement.
 

«Le vin qui réjouit le cœur de l’homme...» (Psaume 104-15)
«Aucun rapport» nous diront les "experts compétents".
Notamment ceux mis à disposition des pouvoirs publics... par lesdits laboratoires pressés de voir à nouveau ce double phénomène s'inverser.
«Pas d'accord sur ce dernier point !» nous arrêtera-t-on, «Les "experts mis à disposition", ça n'existe plus car depuis l'"affaire du Médiator" les conflits d'intérêts médicaux ne sont plus possibles :  http://www.lemonde.fr/idees/article/2014/08/05/vaincre-le-conflit-d-interets-medical-par-irene-frachon-et-pierre-le-coz_4409614_3232.html



C'est vrai à l'heure qu'il est mais ne préjugeons pas de l'avenir !
Il faut en effet savoir que depuis la dernière nomination au ministère de la Santé, le "retour au "statu quo ante" n'est plus inenvisageable : http://www.francesoir.fr/politique-france/nouveau-gouvernement-macron-quand-la-nouvelle-ministre-de-la-sante-agnes-buzyn-conflits-interets-laboratoire-pahrmaceutique-ministre-sante-mediator.

«Il n'y a pas de joie sans vin» (Talmud, Pesakhim 109a)

Avertissement
Nous serons bientôt amenés à ré-associer les termes "ministère de la Santé" et "conflit d'intérêt".
Petit hors d'œuvre : http://www.la-croix.com/France/Politique/Agnes-Buzyn-nouvelle-ministre-sante-conflit-dinterets-mari-2017-05-18-1200848216.«Le vin inspire et contribue énormément à la joie de vivre.» (Napoléon Bonaparte)

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vendredi 19 mai 2017

Non, le vin n'est pas de l'alcool !

Commençons par un communiqué de presse de celle que beaucoup considèrent comme la pire des associations œnophobiste, l'ANPAA, laquelle, en l'occurrence s'en
prend à l'un des meilleurs et plus anciens défenseurs du vin, le sénateur Roland Courteau : http://www.anpaa.asso.fr/presse/espace-presse/834-senateur-viticole-courteau-persiste-vin-pas-alcool.
Au motif notamment d'une déclaration de cet excellent homme : «Le vin n'est pas de l'alcool».
Et remarquons immédiatement que dans aucune des phrases suivantes l'ANPAA ne dit explicitement le contraire.
Pourquoi ?
Parce qu'ils savent bien, eux, quelle est la vraie définition du mot alcool, 
En effet, en chimie, un alcool est une molécule organique porteuse de la fonction hydroxyle -OH.
Et le point commun à tous les alcools est que le nom de chacun d'entre eux se termine par le suffixe "-ol" :  https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Alcool_(chimie).
Par exemple le glycérol, largement utilisé en cosmétique, en pharmacopée et dans l'industrie agroalimentaire en tant qu'additif (E422) :  http://www.marieclaire.fr/,le-glycerol-ou-la-glycerine,725161.asp.
D'ailleurs, il y a du glycérol naturel dans le vin. 
Mais aussi, bien entendu, de l'éthanol (C2H5OH).
Généralement autour de 10% en poids et 12, 5% en volume. 
Exception faite de certains autres éléments extrêmement salutaires, le reste c'est de l'eau (H2O).Au moins 85%.
Question : si on doit réduire le vin à l'un de ses éléments constitutifs pourquoi ne pas privilégier celui qui est, de loin, quantitativement le plus representé ?

Mais d'ailleurs, est-il pertinent, de manière générale, de réduire un corps complexe à l'un de ses éléments constitutifs ?
Dit-on d'un gâteau que c'est du glycérol ?
Donc de l'alcool ?
Si c'était le cas, comment faudrait-il définir une dame "très gourmande" :  http://www.huffingtonpost.fr/2017/05/17/qui-est-agnes-buzyn-la-nouveau-ministre-des-solidarites-et-de-la_a_22093785/ ?
Comme une alcoolique ?
Une addict ?
Autre question : pourquoi, alors, ne pas appeler "sucres" les solides ou liquides qui comportent du glucose, du fructose, etc...?

Bien sûr, on peut tenter de nous porter la contradiction, exemples très précis à l'appui. 
Par exemple celui d'Elle Mac Pherson, célèbre top-modèle australienne, surnommée "the body" (le corps) : http://www.purepeople.com/article/il-y-a-vingt-ans-elle-macpherson-alias-the-body-exposait-deja-son-corps-de-reve_a33689/1.
Osera-t-on le faire, sous-entendant ainsi que la divine créature n'est pas dotée d'intelligence ?
L'occasion pour nous de rappelerque si le "divin breuvage" peut avoir plus ou moins de corps, il ne manque jamais d'esprit : http://dicocitations.lemonde.fr/dico-mot-definition/56287/esprit_de_vin.php !


Mise à jour au  09/11/2017
Rappelons que le sucre, comme l'éthanol et bien d'autres molécules est en capacité de franchir la barrière hémato-encéphalique :  http://honneurduvin.blogspot.fr/2017/11/franchissement.html.
Que son potentiel addictif est plus élevé encore que celui de la cocaïne :  http://www.sfalcoologie.asso.fr/page.phpchoix=abstract&action=detail&id=71.
Et qu'il peut être considéré comme un alcool (ou un éthanol) "brut et lourd" qui «tue énormément».
Ce n'est pas nous qui le disons :

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jeudi 18 mai 2017

Confirmation

JPEGQuel plaisir hier soir de lire le dernier communiqué de nos camarades ennemis de l'Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie : http://www.anpaa.asso.fr/images/CP_Nomination_Agn%C3%A8s_Buzyn_17052017.pdf !
Puissent-ils être remerciés, glorifiés, exaltés, bénis, béatifiés, etc...
Et cela pour la très signifiante confirmation de l'inquiétude qui sous-tendait notre article immédiatement précédent... rédigé probablement au même moment : http://honneurduvin.blogspot.fr/2017/05/alarme.html.
Une confirmation qui nous permet de dépasser immédiatement l'heure de l'interrogation et d'entrer sans tarder en phase d'œno-résistance.
Un gain de temps à mettre en parallèle avec celui dont les fachygiénistes de couloir du Ministère de la Santé doivent eux aussi se réjouir.
Dame ! Cette fois-ci il n'auront pas besoin de passer une semaine environ à "prendre le dessus" et à robotiser la personne nommée pour qu'elle sache bien ce qu'elle a à faire et penser.
Dommage de perdre une semaine alors que la mission cocaconfiée depuis des années est simple et précise : hyper-taxer le vin !
Elle est pas belle la vie de malbouffisant ?
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mercredi 17 mai 2017

Alarme !

Mme Agnès Buzyn a été cette après-midi nommée ministre des Solidarité et de la Santé.
C'est une véritable provocation envers les défenseurs du vin !
Elle fut membre du conseil d’administration de l’Institut national du cancer dès 2009, année de naissance de notre association, en résistance notamment aux manœuvres et provocations de cet Institut.
Le 29 mai 2011, elle en devint présidente, succédant ainsi à M. Marraninchi de sinistre mémoire :  http://honneurduvin.vitisphere4.vitisphere.com/2009-l-affaire-de-la-brochure/.
Quelques mois après sa nomination, elle déclarait à la radio : «Je demande à tout le monde d'arrêter de boire».
Tout un programme !
Qui inclut, bien entendu, d'incessant appuis de l'INCa aux projets d'hyperfiscalisation du divin breuvage.
Encore tout récemment : 
http://www.vitisphere.com/actualite-85197-Des-recommandations-qui-vont-faire-bondir-la-filiere.htm.
Et pour le défendre, qui au sein de ce gouvernement ?
Un ministre de l'Agriculture bien «peu viticole» :
http://www.vitisphere.com/actualite-85258-Jacques-Mezard-nouveau-ministre-agricole-peu-viticole.htm !


mardi 16 mai 2017

Effervescence à l'Elysée

Emmanuel Macron, pour l’accompagner dans le serrement des mains aux représentants des institutions françaises, c'est à dire après la fin de son premier discours en tant que Président de la République tout récemment investi, a choisi de faire jouer par l'orchestre de la Garde républicaine un morceau qui a du faire exploser de rage les œnophobistes radicaux.
L'"air du champagne" de Mozart de Don Giovanni.

« Une redoutable incitation a boire de l'alcool » auront-ils éructé !
«Intéressant signe de souplesse mentale.» pensons-nous.
Même si on peut aussi penser que cela ne règle pas tout. 
En effet, le "roi des vins effervescents" est un produit de prix.
Et on peut penser que même la moins chère des bouteilles ne serait pas affectée par une politique de "minimum pricing".
Une idée contre laquelle nous avons eu à nous battre il y a 2 ans :
http://honneurduvin.vitisphere4.vitisphere.com/alerte-a-bruxelles/.
Désormais "en dormance" mais qui n'attend qu'un renouvellement des interlocuteurs pour refaire irruption...
En fait, ladite politique, si elle était mise en place, ne concernerait probablement qu'une faible partie de l'ensemble des personnes participant à cette très officielle réception.
Et participerait à la "panne de l'ascenseur social", réservant les bénéfices physiques et psychiques du divin breuvage aux classes les plus favorisées et cela de génération en génération.
Et les autres, de génération en génération, auraient toujours moins de chance d'échapper au diabète, à l'obésité... et donc à la stagnation sociale :
http://honneurduvin.blogspot.fr/2017/01/cerveau-du-nouveau.html.
Il est significatif de savoir que beaucoup de grands noms de l’hygiènisme possèdent des caves qualitativement très bien garnies !
Et sont de fins dégustateurs...
Droit égal pour tous à la "psychoactivité positive" : c'est l'un des aspects de notre combat.

vendredi 12 mai 2017

Macron et l'avenir du vin ? (4)

Ce qui nous rassure
C'est tout d'abord l'idée qu'un ancien ministre de l'économie ne peut ignorer que le vin, l'un des tout premiers produits phares du prestige de la France aux yeux du monde entier, est un élément essentiel en terme d'entrée de devises que ce soit au travers des exportations ou de la part qu'il constitue dans l'attractivité de notre pays sur le plan touristique. 
Et qu'en dégrader sans cesse avec férocité l'image participe donc du suicide économique.
Il y a aussi la lecture de ces 2 articles : 
◆ http://www.vitisphere.com/actualite-84698-Audrey-Bourolleau-rejoint-lequipe-du-candidat-Emmanuel-Macron.htm.
◆ http://www.larvf.com/vin-audrey-bourolleau-ministre-agriculture-emmanuel-macron-en-marche,4524467.asp

Et puis, il faut le reconnaître, un intense plaisir que
de lire cette phrase émanant de nos adversaires : « Quand Emmanuel Macron écrit que « Enfin, la loi Evin étant un exemple en matière de maîtrise de la publicité, je souhaite conserver et défendre l’équilibre de cette loi en l’état », soit il se moque de nous, soit il ignore complètement l’histoire de la loi Evin. »
Page 4 question 8 : http://www.securite-sanitaire.org/reponses2017/commentaires5.pdf.
Ne doutons pas que M. Macron connaisse parfaitement « l'histoire de la loi Évin » !
Consultons aussi les tableaux de notes publiés par ces mêmes "Gotiques" : 
http://www.securite-sanitaire.org/reponses2017/Notation16%20avril.pdf.
Bien sûr, nous aurions préféré que le nouveau Président de la République n'ait obtenu que des 0 dans le second tableau et que des 1 dans le troisième.
Mais bon... c'est quand même bien !
 
Ensuite, même si quelques assertions y figurant méritent d'être rectifiées, nous avons beaucoup aimé la tonalité des propos tenus par Emmanuel Macron dans plusieurs numéros sous différentes formes de la revue "Terre de Vins" car ils révèlent un véritable amour et une très belle culture du divin breuvage.
Exemples :
http://www.terredevins.com/actualites/videos-macron-confidences-a-terre-de-vins/,
http://www.terredevins.com/actualites/macron-president-aimait-vin/.
 
Enfin, il est très important de noter que cet amour et cette culture lui ont été transmis par ses parents et que ceux-ci font partie d'une grande cohorte de "héros de l'ombre".
De ceux que traquent sans relâche les 
cocacollaborateurs malbouffisants du ministère de la Santé pour les contraindre au silence sous peine d'être discrédités : les médecins amis du vin !
Lire rubrique "Famille" : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Emmanuel_Macron.
Puisse-t-il, dans ces nouvelles fonctions ne pas oublier qu'aujourd'hui les bénéfices tant physiques que psychiques de cette culture sont principalement réservés aux classes les moins défavorisées.
Ce qui, depuis des décennies, compromet le bon fonctionnement de "l'ascenseur social"...


                                    (Fin de cette série)


jeudi 11 mai 2017

Macron et l'avenir du vin ? (3)

Ce qui nous laisse perplexe

  • 1) Réponse d'E. Macron aux "Gotiques" de Sécurité Sanitaire
 http://www.securite-sanitaire.org/reponses2017/Macron.pdf.
« Je ne souhaite pas en revanche confondre consommation d’alcool et alcoolisme. A ce titre, le message « l’alcool est dangereux pour la santé » me paraitrait excessif. De même, je ne suis pas favorable à une taxation des boissons alcoolisées en fonction de leur grammage en alcool. Enfin, la loi Evin étant un exemple en matière de maitrise de la publicité, je souhaite conserver et défendre l’équilibre de cette loi en l’état.»
Bien !
«...il paraît intéressant d’indiquer comme vous le proposez sur les contenants la quantité d’alcool pur en grammes et le nombre de calories.»
Moins bien.
 
Et à propos des « risques liés à une consommation régulière  et/ou importante d’alcool » : erreur fondamentale !
Risques liés à une consommation importante : d'accord. 
Mais nous persistons à dire que l'idéal à tout point de vue est de consommer le vin au cours des repas (déjeuner et dîner) en veillant à ce que le poids total d'alcool pur soit au maximum égale par rapport au poids total (liquides+solides) au seuil en dessous duquel une boisson est considéré sans alcool selon 
l'article L. 3321-1. du code de la santé publique. 
Soit 1,2%.
Soit un verre de vin. 
 
Quant à la malbouffe, les engagements pris sont très nettement insuffisants au regard du niveau de pandémie qui se profile... et qui est déjà bien présente: http://www.lepoint.fr/sante/la-malbouffe-cause-plus-de-maladies-que-tabac-alcool-et-sexe-reunis-03-10-2016-2073117_40.php.
Pour nous en matière d'accès à la communication ainsi qu'au traitement fiscal (taux de TVA comprise), ce que les américains appellent la junk food (liquides+solides) devrait "bénéficier" d'un régime intermédiaire entre le tabac et l'alcool.

  • 2) Réponse d'E. Macron à L'ANPAA. 
«... nous  moderniserons  nos  politiques publiques  destinées  à  lutter  contre  l’alcoolisme,  fléau  responsable  de  plusieurs  dizaines  de  milliers  de morts  dans  notre  pays.»
OK... même si le nombre "Hill" de morts doit être à reconsidérer.  
Mais bon... force est de reconnaître qu'il n'est pas cité. 
 
Par contre, ce qui pose question c'est qu'il ait jugé utile
d'adjoindre à sa réponse les réflexions de M. Olivier Véran : http://www.anpaa.asso.fr/images/Lettre_aux_assocations_sant%C3%A9_publique_et_addictions_Olivier_V%C3%A9ran_pour_E_Macron_28032017.pdf
«J’ai défendu au parlement la loi Évin dans son entièreté et  son intégrité. Plus encore, j’ai en première lecture de la loi de modernisation de notre système de santé déposé un amendement visant à adapter le contenu des messages sanitaires obligatoires dans les publicités pour l’alcool en fonction des supports de communication, des produits et des publics. Cela m’avait à l’époque valu une forte mobilisation du lobby des alcooliers. Hélas, l’amendement avait finalement été repoussé par le parlement. Croyez bien que ma détermination demeure intacte pour l’avenir. »
 
« Sur la méthode, croyez en notre volonté de travailler en étroite et constante collaboration avec les associations impliquées dans la lutte contre les comportements addictifs, et plus généralement en faveur de la santé publique. Nous soutiendrons les associations engagées en faveur de la prévention et de la promotion de la santé et favoriserons leur croissance, pour démultiplier leur impact sur le terrain. Nous maintiendrons les fonds de dotation et les aides de L’État, ainsi que les incitations fiscales, pour que les associations qui se battent au quotidien contre les risques et les dommages liés aux conduites addictives voient leur financement pérennisé. »
En voilà un qui a compris que parler d'argent est le meilleur moyen de toucher le cœur des œnophobistes professionnels!

  • 3) Propos dans la presse
Quelques rectifications s'imposent concernant la manière dont certains épisodes ont été relatés. 
À titre d'exemple, nous proposons au lecteur de consulter le commentaire que le porte-parole de notre association a proposé à l'attention d'une excellente revue et portant sur le premier de ces 2 articles en relation avec la thématique que nous traitons actuellement :
 http://www.terredevins.com/actualites/videos-macron-confidences-a-terre-de-vins/,
 http://www.terredevins.com/actualites/macron-president-aimait-vin/.
                                                        (À suivre)

mercredi 10 mai 2017

Macron et l'avenir du vin ? (2)



Ce qui nous inquiète
    
Bien sûr et tout d'abord le ralliement de certains de nos plus vieux ennemis, au premier rang desquels Jean-Marie Le Guen : http://www.paris-normandie.fr/breves/normandie/le-guen-ps-s-inscrit-completement-dans-la-majorite-presidentielle-de-macron-BM9583650.
Arrière-pensée de "recasage" ? À un haut niveau ?
  


Plus grave encore, le fait que M. Olivier Véran soit le référent santé EnMarche ! 
Et surtout qu'il soit parfois présenté comme le futur ministre de la Santé : http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/isere/olivier-veran-medecin-au-chu-grenoble-potentiel-futur-ministre-sante-1242699.html.
Or, ce monsieur Véran, nous le connaissons bien pour avoir déjà eu affaire à lui : http://honneurduvin.vitisphere4.vitisphere.com/coup-bas/.
 

La réponse qu'il a apporté à l'ANPAA pour le compte du candidat qu'il soutenait est aussi à consulter : http://www.anpaa.asso.fr/images/Lettre_aux_assocations_sant%C3%A9_publique_et_addictions_Olivier_V%C3%A9ran_pour_E_Macron_28032017.pdf.

mardi 9 mai 2017

Macron et l'avenir du vin ? (1)

Les clefs de l'Elysée, c'est entre les mains d'Emmanuel Macron que François Hollande les remettra dans quelques jours : le peuple français a rendu son verdict.

Souhaitons tout d'abord bonne chance à la France et à son très prochain nouveau président.
Et constatons que pour nous le temps est venu d'analyser les perspectives qui, à l'aube du nouveau quinquennat, semblent devoir s'ouvrir concernant la lutte contre la malbouffe. 
 
Sachant qu'à nos yeux cette lutte passe forcément par la défense du vin que nous considérons être le "vecteur liquide" de l'équilibre alimentaire.  
Opinion que nous nous sommes forgée, incontestables constats à l'appui. 
Exemple : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10643379.

Pour tenter de cerner les orientations qui pourraient être celles du récent élu à la magistrature suprême en la matière qui nous intéresse, nous allons classer les informations dont nous disposons en 3 parties. 
Nous verrons successivement celles qui nous inquiètent, puis celles qui nous laissent perplexes et enfin celles qui nous donnent de l'espoir.
                                                                                                                                                                                (À suivre)