La perfection n'est pas de ce monde.
Il n'est par conséquent pas possible d'être totalement funeste !
Il ne pouvait donc qu'exister un petit quelque chose a sauver dans les les lugubres "repères Ducimetière".
Nous avons donc cherché... et nous avons trouvé !
Et en plus, c'est répété 4 fois : pages 13, 123, 143 et 143...
http://www. santepubliquefrance.fr/ content/download/2143/18554/ version/3/file/avis_alcool_ 040517.pdf
De quoi s'agit-il ?
Du fait qu'en cas de consommation de boisson alcoolisée, le faire «lentement, en mangeant...».
Ce qui, incontestablement, favorise le "divin breuvage" dans la plupart des cas.
Et rejoint la méta-analyse du World Cancer Research Fund sur ce point :
«If drinking, do so only with meals».
Voir page 357 (à peu prés au milieu du tableau 10-1, 2° partie) : http://www.wcrf.org/sites/ default/files/Second-Expert- Report.pdf.
Soyons honnêtes, les "seuils Ducimetière" sont, pour la moitié de la population (les dames), moins restrictifs que ceux du WCRF.
2 verres par jour maximum dans le premier cas, un seul dans le second.
Sauf que...
Dames ou messieurs, pas d'atteinte constatable à la quotidienneté dans le WCRF, tandis que chez Ducimetière :
«avoir des jours dans la semaine sans consommation».
Par contre, concernant "la consommation exceptionnelle dans certaines occasions", le WCRF n'en parle pas, ne la souhaite très probablement pas.
Mais pour Ducimetière, sur ce plan, même le "2.3.4.0" en référence à l'OMS (voir nos 2 articles précédents) ne va pas assez loin !
Page 115 :
« "2-3 verres par jour" : des chiffres trop importants, voire incitatifs, qui légitime une consommation journalière.
A contrario, "4 verres en une seule occasion" : un nombre trop faible, totalement irréaliste à suivre, en comparaison de la consommation d’un certain nombre (notamment les jeunes).»
Il n'est par conséquent pas possible d'être totalement funeste !
Il ne pouvait donc qu'exister un petit quelque chose a sauver dans les les lugubres "repères Ducimetière".
Nous avons donc cherché... et nous avons trouvé !
Et en plus, c'est répété 4 fois : pages 13, 123, 143 et 143...
http://www.
De quoi s'agit-il ?
Du fait qu'en cas de consommation de boisson alcoolisée, le faire «lentement, en mangeant...».
Ce qui, incontestablement, favorise le "divin breuvage" dans la plupart des cas.
Et rejoint la méta-analyse du World Cancer Research Fund sur ce point :
«If drinking, do so only with meals».
Voir page 357 (à peu prés au milieu du tableau 10-1, 2° partie) : http://www.wcrf.org/sites/
Soyons honnêtes, les "seuils Ducimetière" sont, pour la moitié de la population (les dames), moins restrictifs que ceux du WCRF.
2 verres par jour maximum dans le premier cas, un seul dans le second.
Sauf que...
Dames ou messieurs, pas d'atteinte constatable à la quotidienneté dans le WCRF, tandis que chez Ducimetière :
«avoir des jours dans la semaine sans consommation».
Mais pour Ducimetière, sur ce plan, même le "2.3.4.0" en référence à l'OMS (voir nos 2 articles précédents) ne va pas assez loin !
Page 115 :
« "2-3 verres par jour" : des chiffres trop importants, voire incitatifs, qui légitime une consommation journalière.
A contrario, "4 verres en une seule occasion" : un nombre trop faible, totalement irréaliste à suivre, en comparaison de la consommation d’un certain nombre (notamment les jeunes).»
1) le plus de jours possibles dans la semaine livrés au type de boissons qui depuis bientôt 2/3 de siècle et bien plus cocasionnellement, tend à prendre la place de l'"âme française" sur la table des français...
2) toujours plus de diabète, d'obésité, d'accidents cardio-vasculaires, de cancers, etc...
3) et aussi toujours plus de comas éthyliques en fin de semaine, de dépenses liées au taux d'hospitalisations pour
Théorie de Ledermann pas morte : s'attaquer prioritairement à la consommation régulière et modérée... pour la plus grande joie des fabricants de sodas !
Finalement, ce "rapport Ducimetière", qu'apporte-t-il de vraiment nouveau par rapport à ses prédécesseurs du même acabit ?
En tout cas, rien en matière de préconisation fiscale : toujours la même motivation fondamentale... avec toujours à peu près la même indigeste "sauce d'accompagnement" !
C'est en surmontant notre modestie légendaire que nous nous permettons de nous réjouir : merci à M. Ducimetière et à toute l'équipe de l'"AVIS D’EXPERTS RELATIF À L’ÉVOLUTION DU DISCOURS PUBLIC EN MATIÈRE DE CONSOMMATION D’ALCOOL EN FRANCE" pour l'hommage rendu à notre association en page 35 (numérotée 34 sur le document).
Et à l'action qu'elle a jadis menée, laquelle devait entraîner l'expression par le Haut Conseil de Santé Publique d'un avis qui fait toujours référence !
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