Mémoire
Toute notre admiration à Madame le docteur Dominique Lanzmann-Peithory ! À sa science, à sa constance, à sa fidélité et à la courtoise mais indomptable énergie qu'elle déploie afin que la mémoire du Professeur Renaud reste toujours aussi vive parmi les amis du vin ! Et aussi que son œuvre se poursuive... Qui, si ce n'est elle, pouvait organiser une aussi émouvante cérémonie en honneur au père du French Paradox que celle qui a eu lieu dimanche dernier au cimetière de Marcillac en Gironde ? Au travers d'une plaque de remerciement pour avoir rendu leur fierté aux vignerons et aux côtés de nos amis et aînés des 4 vérités sur le vin, notre association était présente (4° paragraphe) : http://www.sudouest.fr/2013/10/28/l-hommage-rendu-au-pere-du-french-paradox-1212463-2813.php. Et cette présence symbolique est destinée à perdurer autant que le souvenir de notre cher professeur dans le cœur des défenseurs d'un des plus beaux fleurons de notre patrimoine et de notre culture...
.
Information d'actualité
Nous informons les lecteurs de ce blog qu'à titre conservatoire et sans préjuger de ce que nous pourrions intenter ou pas, nous avons fait procéder à un constat d'huissier concernant les propos tenus récemment par le sieur Bernard Maris au cours d'une émission de grande audience et à une heure de grande écoute (lire notre article précédent).
Pour ceux qui ne connaîtraient pas Mr Maris, rappelons que c'est l'homme qui a réalisé il y a moins d'un an un parcours pour le moins surprenant : http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20111223trib000673356/oncle-bernard-maris-de-charlie-hebdo-a-la-banque-de-france.html.
jeudi 31 octobre 2013
mercredi 30 octobre 2013
C'était hier dans l'émission "C dans l'air" et cela nous a été transmis par un vigilant membre de notre association.
Mr Bernard Maris : «En terme de santé, les vins français sont les plus mauvais d'Europe» .
56° minute : http://www.france5.fr/c-dans-l-air/politique-interieure/le-gouvernement-recule-pas-les-bretons-40127.
Propos élargi à toute l'agriculture française avant la 57° minute !
On sait bien que Mr Maris est loin d'être connu comme un adversaire des taxes, sur-taxes, etc...
À la 55° minute, par exemple, son raisonnement en apportait bien la preuve.
Et on retrouve bien ici la tactique Latino-Martel & C° (2009) ou Hill & C° (2013) : jeter le discrédit pour pouvoir taxer, sur-taxer, ultra-taxer, etc...
Un gain pour les finances de l’État qu'il s'agit ensuite de diriger vers celles de l'Industrie des Études et Rapports en tous Genres sous prétexte de prévention...
Par contre, sur bien des plans, une perte potentielle énorme pour le pays !
Mais qu'importe à ces gens ?
Nous allons aujourd'hui même étudier ce qui peut être fait juridiquement et tiendrons nos adhérents informés.
Mr Bernard Maris : «En terme de santé, les vins français sont les plus mauvais d'Europe» .
56° minute : http://www.france5.fr/c-dans-l-air/politique-interieure/le-gouvernement-recule-pas-les-bretons-40127.
Propos élargi à toute l'agriculture française avant la 57° minute !
On sait bien que Mr Maris est loin d'être connu comme un adversaire des taxes, sur-taxes, etc...
À la 55° minute, par exemple, son raisonnement en apportait bien la preuve.
Et on retrouve bien ici la tactique Latino-Martel & C° (2009) ou Hill & C° (2013) : jeter le discrédit pour pouvoir taxer, sur-taxer, ultra-taxer, etc...
Un gain pour les finances de l’État qu'il s'agit ensuite de diriger vers celles de l'Industrie des Études et Rapports en tous Genres sous prétexte de prévention...
Par contre, sur bien des plans, une perte potentielle énorme pour le pays !
Mais qu'importe à ces gens ?
Nous allons aujourd'hui même étudier ce qui peut être fait juridiquement et tiendrons nos adhérents informés.
lundi 28 octobre 2013
Fôôôôôrmidable !
Bien sûr "Formidable" est le titre d'une chanson récente de Stromae qui obtient un grand succès.
Mais formidable est aussi le mot qui nous vient à l'esprit en constatant l'immense courant de sympathie et de prises de position suscitées par le vin lorsque la nouvelle attaque dont il était l'objet est devenue de notoriété publique.
Merci à tous !
Et pardon à tous ceux (ils sont nombreux) que nous n'allons pas citer dans le cadre de cet article sous peine de l'alourdir au delà du raisonnable...
Qu'ils sachent bien que nous avons apprécié leur engagement à sa juste valeur.
.
Quelques exemples, néanmoins.
.
Presse écrite :
- un article de "Libé" qui va sur le fond et de ce fait, évidemment, qui serait difficile à qualifier de rustique :
http://www.liberation.fr/societe/2013/07/30/loi-evin-la-sante-ou-la-morale_921784.
- un percutant édito du "Point" :
http://www.lepoint.fr/editos-du-point/etienne-gernelle/le-vin-voila-l-ennemi-17-10-2013-1744883_782.php.
Rappelons que "Le Point" est le magazine au sein duquel officie l'excellent Jacques Dupont, auteur du non moins excellent ouvrage "Invignez vous", à acquérir d'urgence : Click.
..
Radio :
Jean-Jacques Bourdin sur RMC Info.
Écouter son interview d'Audrey Bouroleau, Déléguée Générale de Vin & Société, le 3 octobre dernier, de 5mn 10 sec à 9mn 20 sec.
Surtout les 20 dernières secondes.
Et aussi ses question au ministre de l'agriculture sur ce point, de 13mn 30 sec à 16mn.
http://sonosphera.com/taxonomy/term/2778?language=fr.
.
Télé :
Autre émanation de NextRadio TV, groupe auquel appartient RMC, lachaîne d'information en continu BFM TV.
Avec surtout, à voir absolument, la magnifique indignation de l'économiste Emmanuel Lechypre en réaction à ce vandalisme économique qu'est en France l'agression contre le vin.
À partir de 3mn 20sec : Click.
Tout en remerciant très vivement Mr Lechypre, bien entendu, nous lui faisons respectueusement remarquer qu'il aurait dû aller un petit peu plus loin dans les chiffres sur lesquels il a appuyé son argumentation, puisqu'il nous dit que le montant des exportations françaises de vin (5,6 milliards) «est équivalent à une quinzaine d'Airbus A 380».
Selon nos calculs, ce serait plutôt une quarantaine !
Pour évaluer les prix de marché d'un Airbus A 3800, nous avons utilisé cet article :
http://www.challenges.fr/salon-du-bourget-2013/20130612.CHA0743/le-vrai-prix-des-avions-d-airbus-et-de-boeing.html.
Et considéré que taux moyen de change actuel était 1€ = 1,38$.
En "prix catalogue", cela ne donnerait environ que 19 avions, mais ce prix catalogue... franchement... qui s'en soucie ?
.
Cela étant dit, encore une fois, ce pénible épisode semble en voie de se clore, mais nous n'en sommes pas encore totalement assurés.
Selon les informations qui nous parviennent depuis quelques jours, l'emblématique soda à base d'acide phosphorique saccharosé s'attache en ce moment à réactiver ses réseaux médiatiques au prix de coûteuses annonces publicitaires.
Nous en reparlerons...
.
Mais formidable est aussi le mot qui nous vient à l'esprit en constatant l'immense courant de sympathie et de prises de position suscitées par le vin lorsque la nouvelle attaque dont il était l'objet est devenue de notoriété publique.
Merci à tous !
Et pardon à tous ceux (ils sont nombreux) que nous n'allons pas citer dans le cadre de cet article sous peine de l'alourdir au delà du raisonnable...
Qu'ils sachent bien que nous avons apprécié leur engagement à sa juste valeur.
.
Quelques exemples, néanmoins.
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Presse écrite :
- un article de "Libé" qui va sur le fond et de ce fait, évidemment, qui serait difficile à qualifier de rustique :
http://www.liberation.fr/societe/2013/07/30/loi-evin-la-sante-ou-la-morale_921784.
- un percutant édito du "Point" :
http://www.lepoint.fr/editos-du-point/etienne-gernelle/le-vin-voila-l-ennemi-17-10-2013-1744883_782.php.
Rappelons que "Le Point" est le magazine au sein duquel officie l'excellent Jacques Dupont, auteur du non moins excellent ouvrage "Invignez vous", à acquérir d'urgence : Click.
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Radio :
Jean-Jacques Bourdin sur RMC Info.
Écouter son interview d'Audrey Bouroleau, Déléguée Générale de Vin & Société, le 3 octobre dernier, de 5mn 10 sec à 9mn 20 sec.
Surtout les 20 dernières secondes.
Et aussi ses question au ministre de l'agriculture sur ce point, de 13mn 30 sec à 16mn.
http://sonosphera.com/taxonomy/term/2778?language=fr.
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Télé :
Autre émanation de NextRadio TV, groupe auquel appartient RMC, lachaîne d'information en continu BFM TV.
Avec surtout, à voir absolument, la magnifique indignation de l'économiste Emmanuel Lechypre en réaction à ce vandalisme économique qu'est en France l'agression contre le vin.
À partir de 3mn 20sec : Click.
Tout en remerciant très vivement Mr Lechypre, bien entendu, nous lui faisons respectueusement remarquer qu'il aurait dû aller un petit peu plus loin dans les chiffres sur lesquels il a appuyé son argumentation, puisqu'il nous dit que le montant des exportations françaises de vin (5,6 milliards) «est équivalent à une quinzaine d'Airbus A 380».
Selon nos calculs, ce serait plutôt une quarantaine !
Pour évaluer les prix de marché d'un Airbus A 3800, nous avons utilisé cet article :
http://www.challenges.fr/salon-du-bourget-2013/20130612.CHA0743/le-vrai-prix-des-avions-d-airbus-et-de-boeing.html.
Et considéré que taux moyen de change actuel était 1€ = 1,38$.
En "prix catalogue", cela ne donnerait environ que 19 avions, mais ce prix catalogue... franchement... qui s'en soucie ?
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Cela étant dit, encore une fois, ce pénible épisode semble en voie de se clore, mais nous n'en sommes pas encore totalement assurés.
Selon les informations qui nous parviennent depuis quelques jours, l'emblématique soda à base d'acide phosphorique saccharosé s'attache en ce moment à réactiver ses réseaux médiatiques au prix de coûteuses annonces publicitaires.
Nous en reparlerons...
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mercredi 23 octobre 2013
Proposition et opéra
Proposition
Nos lecteurs assidus le savent bien : depuis très longtemps notre association milite pour que le vin, à l'instar du foie gras, soit inscrit au Patrimoine Culturel et Gastronomique Protégé en France.
Et cela dans le cadre du code rural : lire l'article L654-27-1.
Nous ferons plus tard l'historique de cette démarche et des fortunes diverses qu'elle a rencontrées.
Il est important, pour l'heure, de noter que le sénateur Roland Courteau et ses amis ont déposé une proposition de loi allant parfaitement dans ce sens et enregistrée le 3 octobre dernier : http://www.senat.fr/leg/ppl13-030.html.
L'agence AFP s'en est fait l'écho : Click.
Le sénateur Courteau est un très constant défenseur de la viticulture française et il avait, avec un certain nombre d'amis, effectué la même démarche il y a 2 ans et demi, environ : http://www.senat.fr/leg/ppl10-401.html.
Mais à ce moment là, il était encore dans l'opposition à la Chambre Haute, ce qui n'est plus le cas depuis le 25 septembre 2011...
Bien d'autres parlementaires, des 2 chambres et de groupes différents, ont depuis développé des actions similaires : 276 au total !
Beaucoup d'entre eux ont été réélus...
Bien entendu, nous serions très heureux que cette reconnaissance soit enfin obtenue, d'autant que plusieurs entreprises importantes nous affirment que cela serait très favorable à leurs produits dans le cadre de l'exportation.
Et notamment en Chine...
Mais notre bonheur serait total si cet aboutissement était le fait de l'ensemble de la classe politique.
Le vin permettant de dépasser les clivages : quel symbole !
Il nous semble que chacun devrait se poser les questions suivantes :
a) qui peut nier que le vin, autant que le foie gras, fait partie de notre patrimoine culturel et gastronomique, et cela depuis plus de 2000 ans ?
b) si le législateur a décidé de codifier cette reconnaissance pour l'un de ces 2 produits, pourquoi n'en ferait-il pas autant pour l'autre ?
Deux arguments supplémentaires
1) ancienneté de la culture
Ce n'est pas seulement sur les bords de la Méditerrannée qu'on trouve, en France, des vestiges de temples de DIonysos-Bacchus, mais jusque même en Picardie. Lire à ce sujet la fin de cette page.
2) similitude vestimentaire
On peut espérer que les élus de la République seront sensibles au fait (lire la première phrase) que Dionysos était représenté coiffé d'un bonnet Phrygien.
Comme Mariane.
Et comme la Liberté guidant le peuple, selon Delacroix : voir le tableau.
Opéra
La liberté !
Une grande idée pour laquelle les européens ont beaucoup eu à se battre au XIX° siècle.
Notamment, en Italie, ce géant de la musique que fut Giuseppe Verdi.
À ce sujet, nous nous devons de signaler aux gens de l'ANPAA qu'après leur exploit récent contre Paris-Match (relire l'article de Jacques Berthomeau), ils peuvent à présent s'attaquer à la chaîne de télévision ARTE.
En effet, cette dernière a diffusé dimanche dernier une émission consacrée aux grands airs de cet immense compositeur.
Et -horreur !- les dernières minutes de cet enregistrement ont été consacrées au «Libiamo ne'lieti calici» ( Buvons joyeusement <le vin> de ces coupes), le splendide et très célèbre ensemble vocal situé au début de La Traviata.
Splendide et très célèbre mais à l'évidence scandaleusement œnophile !
Le plus scandaleux étant que les 3 talentueux protagonistes officiaient un flûte de champagne à la main : http://www.arte.tv/guide/fr/048460-001/verdi-les-grands-airs (voir à partir de la 40° minute).
Comme s'ils n'avaient pas pu être plutôt être munis de canettes de sodas... du genre cocktail aspartam-acide phosphorique, etc...
Vite ! Le Tribunal de Grande Instance !
.
Nos lecteurs assidus le savent bien : depuis très longtemps notre association milite pour que le vin, à l'instar du foie gras, soit inscrit au Patrimoine Culturel et Gastronomique Protégé en France.
Et cela dans le cadre du code rural : lire l'article L654-27-1.
Nous ferons plus tard l'historique de cette démarche et des fortunes diverses qu'elle a rencontrées.
Il est important, pour l'heure, de noter que le sénateur Roland Courteau et ses amis ont déposé une proposition de loi allant parfaitement dans ce sens et enregistrée le 3 octobre dernier : http://www.senat.fr/leg/ppl13-030.html.
L'agence AFP s'en est fait l'écho : Click.
Le sénateur Courteau est un très constant défenseur de la viticulture française et il avait, avec un certain nombre d'amis, effectué la même démarche il y a 2 ans et demi, environ : http://www.senat.fr/leg/ppl10-401.html.
Mais à ce moment là, il était encore dans l'opposition à la Chambre Haute, ce qui n'est plus le cas depuis le 25 septembre 2011...
Bien d'autres parlementaires, des 2 chambres et de groupes différents, ont depuis développé des actions similaires : 276 au total !
Beaucoup d'entre eux ont été réélus...
Bien entendu, nous serions très heureux que cette reconnaissance soit enfin obtenue, d'autant que plusieurs entreprises importantes nous affirment que cela serait très favorable à leurs produits dans le cadre de l'exportation.
Et notamment en Chine...
Mais notre bonheur serait total si cet aboutissement était le fait de l'ensemble de la classe politique.
Le vin permettant de dépasser les clivages : quel symbole !
Il nous semble que chacun devrait se poser les questions suivantes :
a) qui peut nier que le vin, autant que le foie gras, fait partie de notre patrimoine culturel et gastronomique, et cela depuis plus de 2000 ans ?
b) si le législateur a décidé de codifier cette reconnaissance pour l'un de ces 2 produits, pourquoi n'en ferait-il pas autant pour l'autre ?
Deux arguments supplémentaires
1) ancienneté de la culture
Ce n'est pas seulement sur les bords de la Méditerrannée qu'on trouve, en France, des vestiges de temples de DIonysos-Bacchus, mais jusque même en Picardie. Lire à ce sujet la fin de cette page.
2) similitude vestimentaire
On peut espérer que les élus de la République seront sensibles au fait (lire la première phrase) que Dionysos était représenté coiffé d'un bonnet Phrygien.
Comme Mariane.
Et comme la Liberté guidant le peuple, selon Delacroix : voir le tableau.
Opéra
La liberté !
Une grande idée pour laquelle les européens ont beaucoup eu à se battre au XIX° siècle.
Notamment, en Italie, ce géant de la musique que fut Giuseppe Verdi.
À ce sujet, nous nous devons de signaler aux gens de l'ANPAA qu'après leur exploit récent contre Paris-Match (relire l'article de Jacques Berthomeau), ils peuvent à présent s'attaquer à la chaîne de télévision ARTE.
En effet, cette dernière a diffusé dimanche dernier une émission consacrée aux grands airs de cet immense compositeur.
Et -horreur !- les dernières minutes de cet enregistrement ont été consacrées au «Libiamo ne'lieti calici» ( Buvons joyeusement <le vin> de ces coupes), le splendide et très célèbre ensemble vocal situé au début de La Traviata.
Splendide et très célèbre mais à l'évidence scandaleusement œnophile !
Le plus scandaleux étant que les 3 talentueux protagonistes officiaient un flûte de champagne à la main : http://www.arte.tv/guide/fr/048460-001/verdi-les-grands-airs (voir à partir de la 40° minute).
Comme s'ils n'avaient pas pu être plutôt être munis de canettes de sodas... du genre cocktail aspartam-acide phosphorique, etc...
Vite ! Le Tribunal de Grande Instance !
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jeudi 17 octobre 2013
ANPSAA
Avertissement
Cet article est un peu long, aussi recommandons-nous au lecteur qui, au moment où il en entamera la lecture, dispose de peu de temps d'aller directement à la 2° partie (Décision), afin d'en saisir rapidement la substantifique moelle... quitte prendre connaissance un peu plus tard des autres parties.
1) Motivations
Après avoir rédigé notre article du 08/10/2013, nous avons cherché à en savoir un peu plus sur l'association dont le sieur Patrick Elineau est le Directeur Général, c'est à dire l'ANPAA.
Nous nous sommes alors rendu compte que le budget de cette structure est particulièrement confortable puisqu'il a été constitué pour la plus grande partie des sommes suivantes en 2012 :
une dotation globale de 58.572 K€ au titre de la prise en charge de malades.
des subventions publiques pour la somme totale 14.668 K€.
Voir ceci :
http://www.anpaa.asso.fr/lanpaa/qui-sommes-nous/activites-et-chiffres-cles.
Et puis nous nous sommes souvenus que selon les instances internationales et nationales que nous avons citées ici, la consommation de sucres ajoutés est nettement plus mortifère que celle d'alcool.
Exemples :
selon le Global Health Risks de l'OMS (2009), dans le groupe de pays auxquels appartient la France, les High Income Countries, l'hyperglycémie tue proportionnellement 4,4 fois plus que l'alcool (environ, pourcentages : 7/1,6).
Lire le document à la page 11 :
http://www.who.int/healthinfo/global_burden_disease/GlobalHealthRisks_report_full.pdf.
selon le Centre épidémiologique sur les causes médicales de décès, le CépiDc, en 2009, le seul diabète sucré a tué en France entière 3,9 fois plus que l'abus d'alcool (11676/2980).
Le Fonds mondial de Recherche contre le Cancer recommande d'éviter les boissons sucrées (recommandation 3) et de limiter les boissons alcoolisées (recommandation 6) : http://www.wcrf.org:443/www.wcrffr.org/comment_prevenir/nos_recommendations.php.
Il semblerait en effet que le sucre "nourrisse" les tumeurs : http://fr.sott.net/article/14252-Cancer-et-Sucre-Strategie-pour-affamer-le-cancer.
Les aliments gras et sucrés sont aussi addictifs que la cocaïne et la nicotine à dire d'experts : http://www.huffingtonpost.co.uk/2011/11/03/fatty-and-sugary-food-as-addictive-as-cocaine-and-nicotine_n_1073513.html?ref=uk-lifestyle.
Dans le même ordre d'idée, très intéressante cette expérience ne concernant que le sucre et relatée par la Société Française d'Alcoologie : http://www.sfalcoologie.asso.fr/page.php?choix=abstract&menu=archive&action=detail&id=71.
À noter que le sucre consommé sous forme liquide (sodas, etc...) est particulièrement dangereux et responsable de l'épidémie mondiale d'obésité car déjouant les mécanismes de satiété, l'être humain ne possédant pas les propriétés physiologiques permettant de prendre en compte les calories glucidiques sous forme liquide : http://ajcn.nutrition.org/content/84/2/274.long.
Enfin, force est de constater que l'ANPAA, bien que traitant, outre le sujet de l'alcool, des problèmes du tabac et des drogues illicites n'évoque pas cette problématique au titre du A final (celui d'"Addictologie"), notamment pas dans sa rubrique "Autres" : http://www.anpaa.asso.fr/lanpaa/actualites/autres.
De ce fait, et compte tenu du principe de précaution inscrit dans la constitution, nous ne sommes pas en capacité de rejeter sans réserve aucune l'hypothèse selon laquelle la distance entre cette association et la malbouffisante cocacollabosphère n'est pas totalement incommensurable.
Après tout, nous en avons vu d'autres : voir notre fiche : "Rien que des faits".
Pour nous faire notre propre idée sur les consommation comparée de ces 2 molécules, nous avons utilisé une méthode similaire à celle employée par Mme Hill et Mr Jougla, nous avons divisé le poids moyen de sucre commercialisé journellement par habitant en France par le poids moyen d'alcool pur commercialisé selon les mêmes bases, en nous limitant, bien entendu aux consommations de bouche (exclusion de l'alcool carburant et des quantités de sucre destiné à son élaboration, par exemple).
On trouvera les modalités de calcul en bas de page ce qui permettra de découvrir comment nous avons obtenu ce résultat : 3,24.
2) Décision
Compte tenu de ce que nous venons d'énoncer, nous avons pris la décision de créer une association pour nous attaquer résolument au volet français de cette terrible pandémie mondiale qu'est la diabésité.
Les statuts sont en cours de rédaction afin d'être bientôt déposés, mais le nom a déjà été choisi : l'ANPSAA (Association Nationale de Prévention contre les Sucres Ajoutés et autres Addictions).
Le budget dès la première année s'établira comme suit :
Cotisations des adhérents non encore chiffrable... mais, comme à l'ANPAA, là n'est pas l'essentiel !
Nettement plus conséquent : 47 524,32 K€ de subventions publiques (14 668 x 3,24) pour la prévention.
Sommes auxquelles s'ajouteront dès la deuxième année une dotation globale de 189 773,28 K€ (58 572 x 3,24) au titre de la prise en charge de malades.
Bien entendu, nous n'envisageons même pas que ces sommes puissent nous être refusées par la puissance publique !
Non plus que la reconnaissance d'utilité publique.
Sauf à y voir l'expression d'un manifeste conflit d'intérêt : voir notre fiche "Malbouffisation institutionnelle".
Et aussi une insupportable différence de traitement au regard de celui qui est réservé à l'ANPAA, d'autant plus que notre projet concerne aussi les enfants.
Et réponde à une préoccupation de l'ANSES :
http://www.santemagazine.fr/alimentation-trop-riche-en-sucre-danger-28952.html.
Quant à la question du financement et de cette dotation dans l'état actuel des finances publiques, elle ne se pose que si l'on continue à considérer fiscalement des produits "de première dangerosité" (les sodas) comme étant "de première nécessité".
Notamment en matière de taux de TVA appliquée.
3) Proposition
Nous invitons tous ceux qui souhaiteraient nous rejoindre dans cette noble et belle tâche à le signaler au travers de notre case "Contact" ou ici même : honneurduvin@gmail.com.
Nota Bene : nos lecteurs assidus savent bien que c'est au dépend de la consommation régulière et modérée de vin que la culture de la malbouffe a progressé, entraînant des augmentations extrêmement conséquentes du taux d'obésité, des occurrences de cancer, de la mortalité par diabète sucré, accidents cardio-vasculaires, etc...
Plus une explosion du nombre de comas éthyliques.
Et une baisse du nombre d'années vécues en bonne santé...
Mode de calcul
Selon Mmes Hill, Laplanche, Dunant et Guérin ( introduction en première page de leur immortelle étude "Mortalité attribuable à l'alcool en France en 2009"), «a baissé régulièrement de 1,7% par an depuis 1960 et est égale à 27 grammes par adulte et par jour
en 2009 ».
Cette phrase renvoie à la note [1] : "Hill C, Laplanche A. La consommation d’alcool est
trop élevée en France. Presse Med. 2010".
Cette publication de référence, nous l'avons acquise et avons constaté à la lecture du tableau 1 que ces 27 grammes correspondaient à l'alcool mis à disposition en 2008 (27,4 exactement).
Malheureusement, nous ne sommes pas autorisés à le divulguer pour des raisons de propriété intellectuelle mais voici l'adresse utile pour ceux de nos lecteurs qui voudraient en faire également l'acquisition :
http://www.em-consulte.com/fr/emcV2/monpanier.
Considérons, sans trop de risque, que le rythme de baisse annoncé (1,7%/an) s'est poursuivi depuis 2008 : nous en serions donc approximativement à 25,58 g/j en 2012.
Et pour le sucre, ça donne quoi ?
Au dire même du Centre d'Études et de Documentation du Sucre (CEDUS), «les volumes de sucre destinés à la consommation humaine mis sur le marché pour l’année 2012-2013 sont estimés à environ 2,1 Mt par an (sucre de bouche et industries alimentaires)».
Cette consommation nous est présentée comme stable.
Selon les données de l'INSEE, la population française était au 01/01/2013 de 65 585 857 personnes.
Si l'on retire de ce total les enfants en phase d'allaitement (nés en 2012), nous pouvons considérer que la France comptait l'année dernière 64788723 consommateurs potentiels de sucre.
En divisant 2,1Mt, par 64788723, nous obtenons une moyenne annuelle de 32,413 kg/an par personne.
Soit 32413 grammes que nous divisons par 365,25 jours (les 0,25, c'est pour tenir compte des années bissextiles), et nous obtenons 88,74 grammes à peu près.
Maintenant, faison le rapport 88,74/27,4, et nous obtenons un rapport de dangerosité global du sucre à l'alcool de 3,24.
Certains nous dirons que la molécule d'alcool est plus légère que celle de sucre et que cela fausse notre calcul.
C'est vrai puisqu'après tout la molécule d'alcool n'est autre chose qu'une demi-molécule de sucre allégée en dioxyde de carbone qui s'échappe au cours de la fermentation, avec aussi dégagement de calories :
C6H12O6 → 2 C2H5OH + 2 CO2 + 25,4 calories sous forme d'ATP.
L'allègement a eu lieu avant ingestion, l'alcool n'est pas un hydrate de carbone : s'il y a biais, c'est donc au profit du sucre.
En fait, pour bien faire, il aurait fallu soustraire le poids de 2 atomes d'hydrogène par molécule d'alcool.
Mais bon... c'est léger l'hydrogène !
Cet article est un peu long, aussi recommandons-nous au lecteur qui, au moment où il en entamera la lecture, dispose de peu de temps d'aller directement à la 2° partie (Décision), afin d'en saisir rapidement la substantifique moelle... quitte prendre connaissance un peu plus tard des autres parties.
1) Motivations
Après avoir rédigé notre article du 08/10/2013, nous avons cherché à en savoir un peu plus sur l'association dont le sieur Patrick Elineau est le Directeur Général, c'est à dire l'ANPAA.
Nous nous sommes alors rendu compte que le budget de cette structure est particulièrement confortable puisqu'il a été constitué pour la plus grande partie des sommes suivantes en 2012 :
une dotation globale de 58.572 K€ au titre de la prise en charge de malades.
des subventions publiques pour la somme totale 14.668 K€.
Voir ceci :
http://www.anpaa.asso.fr/lanpaa/qui-sommes-nous/activites-et-chiffres-cles.
Et puis nous nous sommes souvenus que selon les instances internationales et nationales que nous avons citées ici, la consommation de sucres ajoutés est nettement plus mortifère que celle d'alcool.
Exemples :
selon le Global Health Risks de l'OMS (2009), dans le groupe de pays auxquels appartient la France, les High Income Countries, l'hyperglycémie tue proportionnellement 4,4 fois plus que l'alcool (environ, pourcentages : 7/1,6).
Lire le document à la page 11 :
http://www.who.int/healthinfo/global_burden_disease/GlobalHealthRisks_report_full.pdf.
selon le Centre épidémiologique sur les causes médicales de décès, le CépiDc, en 2009, le seul diabète sucré a tué en France entière 3,9 fois plus que l'abus d'alcool (11676/2980).
Le Fonds mondial de Recherche contre le Cancer recommande d'éviter les boissons sucrées (recommandation 3) et de limiter les boissons alcoolisées (recommandation 6) : http://www.wcrf.org:443/www.wcrffr.org/comment_prevenir/nos_recommendations.php.
Il semblerait en effet que le sucre "nourrisse" les tumeurs : http://fr.sott.net/article/14252-Cancer-et-Sucre-Strategie-pour-affamer-le-cancer.
Les aliments gras et sucrés sont aussi addictifs que la cocaïne et la nicotine à dire d'experts : http://www.huffingtonpost.co.uk/2011/11/03/fatty-and-sugary-food-as-addictive-as-cocaine-and-nicotine_n_1073513.html?ref=uk-lifestyle.
Dans le même ordre d'idée, très intéressante cette expérience ne concernant que le sucre et relatée par la Société Française d'Alcoologie : http://www.sfalcoologie.asso.fr/page.php?choix=abstract&menu=archive&action=detail&id=71.
À noter que le sucre consommé sous forme liquide (sodas, etc...) est particulièrement dangereux et responsable de l'épidémie mondiale d'obésité car déjouant les mécanismes de satiété, l'être humain ne possédant pas les propriétés physiologiques permettant de prendre en compte les calories glucidiques sous forme liquide : http://ajcn.nutrition.org/content/84/2/274.long.
Enfin, force est de constater que l'ANPAA, bien que traitant, outre le sujet de l'alcool, des problèmes du tabac et des drogues illicites n'évoque pas cette problématique au titre du A final (celui d'"Addictologie"), notamment pas dans sa rubrique "Autres" : http://www.anpaa.asso.fr/lanpaa/actualites/autres.
De ce fait, et compte tenu du principe de précaution inscrit dans la constitution, nous ne sommes pas en capacité de rejeter sans réserve aucune l'hypothèse selon laquelle la distance entre cette association et la malbouffisante cocacollabosphère n'est pas totalement incommensurable.
Après tout, nous en avons vu d'autres : voir notre fiche : "Rien que des faits".
Pour nous faire notre propre idée sur les consommation comparée de ces 2 molécules, nous avons utilisé une méthode similaire à celle employée par Mme Hill et Mr Jougla, nous avons divisé le poids moyen de sucre commercialisé journellement par habitant en France par le poids moyen d'alcool pur commercialisé selon les mêmes bases, en nous limitant, bien entendu aux consommations de bouche (exclusion de l'alcool carburant et des quantités de sucre destiné à son élaboration, par exemple).
On trouvera les modalités de calcul en bas de page ce qui permettra de découvrir comment nous avons obtenu ce résultat : 3,24.
2) Décision
Compte tenu de ce que nous venons d'énoncer, nous avons pris la décision de créer une association pour nous attaquer résolument au volet français de cette terrible pandémie mondiale qu'est la diabésité.
Les statuts sont en cours de rédaction afin d'être bientôt déposés, mais le nom a déjà été choisi : l'ANPSAA (Association Nationale de Prévention contre les Sucres Ajoutés et autres Addictions).
Le budget dès la première année s'établira comme suit :
Cotisations des adhérents non encore chiffrable... mais, comme à l'ANPAA, là n'est pas l'essentiel !
Nettement plus conséquent : 47 524,32 K€ de subventions publiques (14 668 x 3,24) pour la prévention.
Sommes auxquelles s'ajouteront dès la deuxième année une dotation globale de 189 773,28 K€ (58 572 x 3,24) au titre de la prise en charge de malades.
Bien entendu, nous n'envisageons même pas que ces sommes puissent nous être refusées par la puissance publique !
Non plus que la reconnaissance d'utilité publique.
Sauf à y voir l'expression d'un manifeste conflit d'intérêt : voir notre fiche "Malbouffisation institutionnelle".
Et aussi une insupportable différence de traitement au regard de celui qui est réservé à l'ANPAA, d'autant plus que notre projet concerne aussi les enfants.
Et réponde à une préoccupation de l'ANSES :
http://www.santemagazine.fr/alimentation-trop-riche-en-sucre-danger-28952.html.
Quant à la question du financement et de cette dotation dans l'état actuel des finances publiques, elle ne se pose que si l'on continue à considérer fiscalement des produits "de première dangerosité" (les sodas) comme étant "de première nécessité".
Notamment en matière de taux de TVA appliquée.
3) Proposition
Nous invitons tous ceux qui souhaiteraient nous rejoindre dans cette noble et belle tâche à le signaler au travers de notre case "Contact" ou ici même : honneurduvin@gmail.com.
Nota Bene : nos lecteurs assidus savent bien que c'est au dépend de la consommation régulière et modérée de vin que la culture de la malbouffe a progressé, entraînant des augmentations extrêmement conséquentes du taux d'obésité, des occurrences de cancer, de la mortalité par diabète sucré, accidents cardio-vasculaires, etc...
Plus une explosion du nombre de comas éthyliques.
Et une baisse du nombre d'années vécues en bonne santé...
Mode de calcul
Selon Mmes Hill, Laplanche, Dunant et Guérin ( introduction en première page de leur immortelle étude "Mortalité attribuable à l'alcool en France en 2009"), «a baissé régulièrement de 1,7% par an depuis 1960 et est égale à 27 grammes par adulte et par jour
en 2009 ».
Cette phrase renvoie à la note [1] : "Hill C, Laplanche A. La consommation d’alcool est
trop élevée en France. Presse Med. 2010".
Cette publication de référence, nous l'avons acquise et avons constaté à la lecture du tableau 1 que ces 27 grammes correspondaient à l'alcool mis à disposition en 2008 (27,4 exactement).
Malheureusement, nous ne sommes pas autorisés à le divulguer pour des raisons de propriété intellectuelle mais voici l'adresse utile pour ceux de nos lecteurs qui voudraient en faire également l'acquisition :
http://www.em-consulte.com/fr/emcV2/monpanier.
Considérons, sans trop de risque, que le rythme de baisse annoncé (1,7%/an) s'est poursuivi depuis 2008 : nous en serions donc approximativement à 25,58 g/j en 2012.
Et pour le sucre, ça donne quoi ?
Au dire même du Centre d'Études et de Documentation du Sucre (CEDUS), «les volumes de sucre destinés à la consommation humaine mis sur le marché pour l’année 2012-2013 sont estimés à environ 2,1 Mt par an (sucre de bouche et industries alimentaires)».
Cette consommation nous est présentée comme stable.
Selon les données de l'INSEE, la population française était au 01/01/2013 de 65 585 857 personnes.
Si l'on retire de ce total les enfants en phase d'allaitement (nés en 2012), nous pouvons considérer que la France comptait l'année dernière 64788723 consommateurs potentiels de sucre.
En divisant 2,1Mt, par 64788723, nous obtenons une moyenne annuelle de 32,413 kg/an par personne.
Soit 32413 grammes que nous divisons par 365,25 jours (les 0,25, c'est pour tenir compte des années bissextiles), et nous obtenons 88,74 grammes à peu près.
Maintenant, faison le rapport 88,74/27,4, et nous obtenons un rapport de dangerosité global du sucre à l'alcool de 3,24.
Certains nous dirons que la molécule d'alcool est plus légère que celle de sucre et que cela fausse notre calcul.
C'est vrai puisqu'après tout la molécule d'alcool n'est autre chose qu'une demi-molécule de sucre allégée en dioxyde de carbone qui s'échappe au cours de la fermentation, avec aussi dégagement de calories :
C6H12O6 → 2 C2H5OH + 2 CO2 + 25,4 calories sous forme d'ATP.
L'allègement a eu lieu avant ingestion, l'alcool n'est pas un hydrate de carbone : s'il y a biais, c'est donc au profit du sucre.
En fait, pour bien faire, il aurait fallu soustraire le poids de 2 atomes d'hydrogène par molécule d'alcool.
Mais bon... c'est léger l'hydrogène !
lundi 14 octobre 2013
Communiqués croisés
Après les propos abjects de Mr Patrick Elineau, Directeur général de l'ANPAA (voir notre article du 08/10 dernier ), Vin & Société a diffusé un communiqué témoignant de l'indignation de la filière viticole : Click.
Très rapidement, le jour même, l'ANPAA a commis une réponse : http://www.anpaa.asso.fr/espace-presse/476-publicite-pour-lalcool-sur-internet--la-mise-au-point-de-lanpaa.
.
Point amusant, il est précisé que «l’exemple australien qui lui est attribué a été cité par la journaliste».
En effet, l'article du Wine Spectator, à tort ou à raison, prête à Mr Elineau une référence à la censure australienne.
.
Question : ce démenti signifie-t-il que Mr Elineau assume pleinement une autre référence, celle à « la censure des dissidents du gouvernement chinois» ?
Et aussi l'assimilation aux «sites pronazis» ?
.
À notre avis, ce communiqué aggrave son cas !
.
Et puisqu'en matière de vin, pour Mr Elineau, «le fin du fin c’est de ne jamais y toucher» (voir au centre de cette chronique de Jacques Berthomeau), rappelons lui cet élément de la propagande nazi : « Notre Führer, Adlof Hitler, ne boit aucun alcool et ne fume pas… Sa performance au travail est incroyable ! » (Auf der Wacht, 1937 : 18).
.
Et aussi qu'en juin 1939, était créé dans l'Allemagne nazie un bureau contre (entre autres) les dangers de l'alcool.
.
Coup de bol : cette officine ne portait pas le nom d'ANPAA...
Très rapidement, le jour même, l'ANPAA a commis une réponse : http://www.anpaa.asso.fr/espace-presse/476-publicite-pour-lalcool-sur-internet--la-mise-au-point-de-lanpaa.
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Point amusant, il est précisé que «l’exemple australien qui lui est attribué a été cité par la journaliste».
En effet, l'article du Wine Spectator, à tort ou à raison, prête à Mr Elineau une référence à la censure australienne.
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Question : ce démenti signifie-t-il que Mr Elineau assume pleinement une autre référence, celle à « la censure des dissidents du gouvernement chinois» ?
Et aussi l'assimilation aux «sites pronazis» ?
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À notre avis, ce communiqué aggrave son cas !
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Et puisqu'en matière de vin, pour Mr Elineau, «le fin du fin c’est de ne jamais y toucher» (voir au centre de cette chronique de Jacques Berthomeau), rappelons lui cet élément de la propagande nazi : « Notre Führer, Adlof Hitler, ne boit aucun alcool et ne fume pas… Sa performance au travail est incroyable ! » (Auf der Wacht, 1937 : 18).
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Et aussi qu'en juin 1939, était créé dans l'Allemagne nazie un bureau contre (entre autres) les dangers de l'alcool.
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Coup de bol : cette officine ne portait pas le nom d'ANPAA...
Communiqués croisés
Après les propos abjects de Mr Patrick Elineau, Directeur général de l'ANPAA (voir notre article du 08/10 dernier ), Vin & Société a diffusé un communiqué témoignant de l'indignation de la filière viticole : Click.
Très rapidement, le jour même, l'ANPAA a commis une réponse : http://www.anpaa.asso.fr/espace-presse/476-publicite-pour-lalcool-sur-internet--la-mise-au-point-de-lanpaa.
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Point amusant, il est précisé que «l’exemple australien qui lui est attribué a été cité par la journaliste».
En effet, l'article du Wine Spectator, à tort ou à raison, prête à Mr Elineau une référence à la censure australienne.
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Question : ce démenti signifie-t-il que Mr Elineau assume pleinement une autre référence, celle à « la censure des dissidents du gouvernement chinois» ?
Et aussi l'assimilation aux «sites pronazis» ?
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À notre avis, ce communiqué aggrave son cas !
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Et puisqu'en matière de vin, pour Mr Elineau, «le fin du fin c’est de ne jamais y toucher» (voir au centre de cette chronique de Jacques Berthomeau), rappelons lui cet élément de la propagande nazi : « Notre Führer, Adlof Hitler, ne boit aucun alcool et ne fume pas… Sa performance au travail est incroyable ! » (Auf der Wacht, 1937 : 18).
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Et aussi qu'en juin 1939, était créé dans l'Allemagne nazie un bureau contre (entre autres) les dangers de l'alcool.
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Coup de bol : cette officine ne portait pas le nom d'ANPAA...
Très rapidement, le jour même, l'ANPAA a commis une réponse : http://www.anpaa.asso.fr/espace-presse/476-publicite-pour-lalcool-sur-internet--la-mise-au-point-de-lanpaa.
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Point amusant, il est précisé que «l’exemple australien qui lui est attribué a été cité par la journaliste».
En effet, l'article du Wine Spectator, à tort ou à raison, prête à Mr Elineau une référence à la censure australienne.
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Question : ce démenti signifie-t-il que Mr Elineau assume pleinement une autre référence, celle à « la censure des dissidents du gouvernement chinois» ?
Et aussi l'assimilation aux «sites pronazis» ?
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À notre avis, ce communiqué aggrave son cas !
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Et puisqu'en matière de vin, pour Mr Elineau, «le fin du fin c’est de ne jamais y toucher» (voir au centre de cette chronique de Jacques Berthomeau), rappelons lui cet élément de la propagande nazi : « Notre Führer, Adlof Hitler, ne boit aucun alcool et ne fume pas… Sa performance au travail est incroyable ! » (Auf der Wacht, 1937 : 18).
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Et aussi qu'en juin 1939, était créé dans l'Allemagne nazie un bureau contre (entre autres) les dangers de l'alcool.
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Coup de bol : cette officine ne portait pas le nom d'ANPAA...
mercredi 9 octobre 2013
Soutiens
Excellent !
La résistance à l’œnophobie continue à recevoir de nouveaux soutiens, et pas des moindres, puisque l'L’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie (UMIH), le Syndicat National des Hôteliers Restaurateurs, Cafetiers et Traiteurs (SYNHORCAT), l’Union des Œnologues de France, le Syndicat des Cavistes Professionnels et l’Union de la Sommellerie Française rejoignent la campagne de mobilisation lancée par Vin & Société.
Lire le communiqué : Click.
.
Voilà un nombre considérable de professionnels qui n'entendent pas se voir appliquer «la censure des dissidents du gouvernement chinois» (voir notre article précédent : "Abject").
.
Pourquoi pas le goulag ?
La résistance à l’œnophobie continue à recevoir de nouveaux soutiens, et pas des moindres, puisque l'L’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie (UMIH), le Syndicat National des Hôteliers Restaurateurs, Cafetiers et Traiteurs (SYNHORCAT), l’Union des Œnologues de France, le Syndicat des Cavistes Professionnels et l’Union de la Sommellerie Française rejoignent la campagne de mobilisation lancée par Vin & Société.
Lire le communiqué : Click.
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Voilà un nombre considérable de professionnels qui n'entendent pas se voir appliquer «la censure des dissidents du gouvernement chinois» (voir notre article précédent : "Abject").
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Pourquoi pas le goulag ?
mardi 8 octobre 2013
Abject !
Transmis par Vin & Société cet article : http://www.winespectator.com/webfeature/show/id/49021.
Tout particulièrement abjects, ces propos du sieur Patrick Elineau, Directeur Général de l'ANPAA : "Speaking about the difficulty of policing the Internet, Elineau cited the Chinese government’s censorship of dissidents and Australia’s censorship of pornography and pedophilia as examples of ways the French could shut down discussion of wine in mediums such as Twitter and blogs. «When you see what happens with pro-Nazi websites, you see that there are ways of reacting».”
.
Traduction professionnelle :
"En parlant de la difficulté de réglementer Internet, Elineau a évoqué la censure des dissidents du gouvernement chinois ainsi que la censure australienne de la pornographie et de la pédophilie pour montrer à la France de quelle façon elle pourrait mettre un terme aux débats sur le vin dans des médias tels que Twitter et les blogs. « Quand vous voyez ce qui se passe avec les sites pronazis, vous voyez qu’il y a des moyens réagir»."
.
Assimiler les vignerons à des dealers, on avait déjà vu ça maintes fois... sans parvenir toutefois à s'y habituer, bien entendu.
Mais à des pornographes pédophiles pronazis et suggérer que soient prises à leur égard de mesures de censure telles que celles que la Chine applique à ses disssidents...
ILS EN SONT LÀ !!!
.
À ce pont de fanatisme, le mot "œnophobe" ne suffit pas !
Nous allons forger un nouveau néologisme "maison" : œnophobistes...
Tout particulièrement abjects, ces propos du sieur Patrick Elineau, Directeur Général de l'ANPAA : "Speaking about the difficulty of policing the Internet, Elineau cited the Chinese government’s censorship of dissidents and Australia’s censorship of pornography and pedophilia as examples of ways the French could shut down discussion of wine in mediums such as Twitter and blogs. «When you see what happens with pro-Nazi websites, you see that there are ways of reacting».”
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Traduction professionnelle :
"En parlant de la difficulté de réglementer Internet, Elineau a évoqué la censure des dissidents du gouvernement chinois ainsi que la censure australienne de la pornographie et de la pédophilie pour montrer à la France de quelle façon elle pourrait mettre un terme aux débats sur le vin dans des médias tels que Twitter et les blogs. « Quand vous voyez ce qui se passe avec les sites pronazis, vous voyez qu’il y a des moyens réagir»."
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Assimiler les vignerons à des dealers, on avait déjà vu ça maintes fois... sans parvenir toutefois à s'y habituer, bien entendu.
Mais à des pornographes pédophiles pronazis et suggérer que soient prises à leur égard de mesures de censure telles que celles que la Chine applique à ses disssidents...
ILS EN SONT LÀ !!!
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À ce pont de fanatisme, le mot "œnophobe" ne suffit pas !
Nous allons forger un nouveau néologisme "maison" : œnophobistes...
lundi 7 octobre 2013
1, 2, 3, 4
1) Paris-Match
Nous avions commencé à réunir les ingrédients nécessaires à la rédaction d'un article sur la grave "affaire Pari-Match", lorsque l'un des fondateurs historiques de notre association, l'inestimable Jean Clavel, nous indiqua que Jacques Berthomeau avait consacré au sujet l'une de ses chroniques, laquelle nous avons estimé fort bien faite. En grande partie (soyons honnêtes !) dans le but d'épargner nos efforts mais aussi pour laisser la place aux trois autres informations lisibles ci-après, nous avons décidé d'inviter le lecteur à s'y reporter.
La voici : http://www.berthomeau.com/article-les-juges-du-tgi-de-paris-n-aiment-ni-le-champagne-ni-scarlett-johansson-comme-eux-censurons-vicky-c-120301458.html.
Juste une petite précision supplémentaire, toujours grâce à Jean : la première vice-présidente de la cour ayant prononcé la sentence génératrice d'auto-censure médiatique porte le nom d'un grand défenseur du vin, Paul Coste-Floret.
Quelle tristesse !
.
2 ) Cas de conscience
Également communiqué par Jean, cette proposition visant à nous permettre d'ingurgiter gratuitement pendant un an "notre soda préféré" : Click.
En partenariat avec le journal Le Monde !
Le Monde dans lequel Robert Escarpit écrivait au tout début de la Coca-Colonisation : « Les conquérants qui ont tenté d’assimiler des peuples allogènes se sont en général attaqués à leurs langues, à leurs écoles, à leurs religions. Ils avaient tort : le point vulnérable, c’est la boisson nationale. Le vin est la plus antique constante de la France. Il est antérieur à la religion et à la langue ; il a survécu à tous les régimes. Il a fait l’unité de la nation ».
Click (5°§).
Cela étant dit, tout n'est pas forcément perdu, il y a peut-être encore débat interne. Lire cet article encore transmis par Jean : http://www.lemonde.fr/le-magazine/article/2013/08/23/la-coca-colisation-nuit-gravement-a-la-sante_3464736_1616923.html.
Être partenaire d'un phénomène nuisant gravement à la santé, ça ne pose pas de cas de conscience, parfois ?
.
3) Inégalité de traitement
Il y a une douzaine de jours, une partie non négligeable des médias a fait état d'un dossier ouvert par la revue Que Choisir (n° 518, octobre 2013) portant sur la présence résiduelle de pesticides dans nombre de vins.
Parfois d'une manière désagréable.
Plus désagréable que le dossier lui-même...
Mais quand Que Choisir Santé" ouvre un autre dossier intitulé «Mangeons-nous trop de sucre ?», pas de répercussions !
Il faut dire que l'un des chapitres s'intitule «L'hérésie des sodas»...
Cette question du sucre avait également été traitée un mois plus tôt par Le Canard Enchaîné : Click.
Article transmis (encore !) par Jean Clavel : un grand merci à lui pour l'ensemble de son œuvre !
Et merci également à Pierre Leclerc, personnage historique de la défense du vin et cheville ouvrière de la première heure dans notre association pour nous avoir fait parvenir le dossier sucre de "Que Choisir Santé".
.
4) Nouvelles du front
Le journal Midi Libre, dans son édition "papier" de samedi dernier, a publié un entrefilet en lequel on pouvait notamment lire ceci :
«Le gouvernement n'a pas de projet de taxe sur le vin ni de modification des étiquetages».
Accompagné de ce commentaire :
«Le cabinet de la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a ainsi confirmé a Midi Libre que l'Etat, s'il réfléchissait à des mesures de prévention autour de l'alcool dans le cadre d'une loi présentée en 2014, n'avait pas l'intention de s'en prendre au vin».
Bon... nous ne sommes pas des perdreaux de l'année et savons bien qu'il est dans les missions des cabinets de se retrouver désavoués le cas échéant.
Et aussi que l'heure de baisser la garde n'a pas encore sonné.
Mais quand même : l'horizon semble semble s'éclaircir, non ?
Reste à voir quelles seront ces mesures de prévention, nous dirons certains.
Certes, mais... à chaque jour suffit sa peine !
Nous avions commencé à réunir les ingrédients nécessaires à la rédaction d'un article sur la grave "affaire Pari-Match", lorsque l'un des fondateurs historiques de notre association, l'inestimable Jean Clavel, nous indiqua que Jacques Berthomeau avait consacré au sujet l'une de ses chroniques, laquelle nous avons estimé fort bien faite. En grande partie (soyons honnêtes !) dans le but d'épargner nos efforts mais aussi pour laisser la place aux trois autres informations lisibles ci-après, nous avons décidé d'inviter le lecteur à s'y reporter.
La voici : http://www.berthomeau.com/article-les-juges-du-tgi-de-paris-n-aiment-ni-le-champagne-ni-scarlett-johansson-comme-eux-censurons-vicky-c-120301458.html.
Juste une petite précision supplémentaire, toujours grâce à Jean : la première vice-présidente de la cour ayant prononcé la sentence génératrice d'auto-censure médiatique porte le nom d'un grand défenseur du vin, Paul Coste-Floret.
Quelle tristesse !
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2 ) Cas de conscience
Également communiqué par Jean, cette proposition visant à nous permettre d'ingurgiter gratuitement pendant un an "notre soda préféré" : Click.
En partenariat avec le journal Le Monde !
Le Monde dans lequel Robert Escarpit écrivait au tout début de la Coca-Colonisation : « Les conquérants qui ont tenté d’assimiler des peuples allogènes se sont en général attaqués à leurs langues, à leurs écoles, à leurs religions. Ils avaient tort : le point vulnérable, c’est la boisson nationale. Le vin est la plus antique constante de la France. Il est antérieur à la religion et à la langue ; il a survécu à tous les régimes. Il a fait l’unité de la nation ».
Click (5°§).
Cela étant dit, tout n'est pas forcément perdu, il y a peut-être encore débat interne. Lire cet article encore transmis par Jean : http://www.lemonde.fr/le-magazine/article/2013/08/23/la-coca-colisation-nuit-gravement-a-la-sante_3464736_1616923.html.
Être partenaire d'un phénomène nuisant gravement à la santé, ça ne pose pas de cas de conscience, parfois ?
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3) Inégalité de traitement
Il y a une douzaine de jours, une partie non négligeable des médias a fait état d'un dossier ouvert par la revue Que Choisir (n° 518, octobre 2013) portant sur la présence résiduelle de pesticides dans nombre de vins.
Parfois d'une manière désagréable.
Plus désagréable que le dossier lui-même...
Mais quand Que Choisir Santé" ouvre un autre dossier intitulé «Mangeons-nous trop de sucre ?», pas de répercussions !
Il faut dire que l'un des chapitres s'intitule «L'hérésie des sodas»...
Cette question du sucre avait également été traitée un mois plus tôt par Le Canard Enchaîné : Click.
Article transmis (encore !) par Jean Clavel : un grand merci à lui pour l'ensemble de son œuvre !
Et merci également à Pierre Leclerc, personnage historique de la défense du vin et cheville ouvrière de la première heure dans notre association pour nous avoir fait parvenir le dossier sucre de "Que Choisir Santé".
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4) Nouvelles du front
Le journal Midi Libre, dans son édition "papier" de samedi dernier, a publié un entrefilet en lequel on pouvait notamment lire ceci :
«Le gouvernement n'a pas de projet de taxe sur le vin ni de modification des étiquetages».
Accompagné de ce commentaire :
«Le cabinet de la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a ainsi confirmé a Midi Libre que l'Etat, s'il réfléchissait à des mesures de prévention autour de l'alcool dans le cadre d'une loi présentée en 2014, n'avait pas l'intention de s'en prendre au vin».
Bon... nous ne sommes pas des perdreaux de l'année et savons bien qu'il est dans les missions des cabinets de se retrouver désavoués le cas échéant.
Et aussi que l'heure de baisser la garde n'a pas encore sonné.
Mais quand même : l'horizon semble semble s'éclaircir, non ?
Reste à voir quelles seront ces mesures de prévention, nous dirons certains.
Certes, mais... à chaque jour suffit sa peine !
mercredi 2 octobre 2013
Des nouvelles…
Qu'il en soit ici remercié !
.
Hier après-midi, à l'Assemblée Nationale, M. Thomas Thévenoud, député de la 1° circonscription de Saône-et-Loire, a posé une question très pertinente à M. le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt..
Et Mr Stéphane Le Foll lui a apporté une réponse tout à fait satisfaisante, même si nous n'aurions pas été gênés par un développement un peu plus conséquent : http://www.assemblee-nationale.fr/14/cri/2013-2014/20140002.asp#P35320.
Mais bon... il faut reconnaître que le "radicalement synthétisé", c'est pas trop notre truc...
.
Autre chose : Vin & Société nous informe que le nombre de visites uniques sur le site "cequivavraimentsaoulerlesfrancais" peut vraiment être considéré comme une récompense pour les efforts engagés et c'est très bien.
Par contre, ce serait mieux que nombre de visiteurs prêtent une attention sensiblement plus soutenue à ce qui se trouve dans le bandeau en bas de page :
SOUTENEZ les acteurs de la vigne et du vin.
.
À faire circuler, SVP !
.
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Hier après-midi, à l'Assemblée Nationale, M. Thomas Thévenoud, député de la 1° circonscription de Saône-et-Loire, a posé une question très pertinente à M. le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt..
Et Mr Stéphane Le Foll lui a apporté une réponse tout à fait satisfaisante, même si nous n'aurions pas été gênés par un développement un peu plus conséquent : http://www.assemblee-nationale.fr/14/cri/2013-2014/20140002.asp#P35320.
Mais bon... il faut reconnaître que le "radicalement synthétisé", c'est pas trop notre truc...
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Autre chose : Vin & Société nous informe que le nombre de visites uniques sur le site "cequivavraimentsaoulerlesfrancais" peut vraiment être considéré comme une récompense pour les efforts engagés et c'est très bien.
Par contre, ce serait mieux que nombre de visiteurs prêtent une attention sensiblement plus soutenue à ce qui se trouve dans le bandeau en bas de page :
SOUTENEZ les acteurs de la vigne et du vin.
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À faire circuler, SVP !
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