1 : la Papesse !
Nous allons, dans cette mini-série, étudier de plus près certains protagonistes emblématiques de la propagande œnophobiste.en débutant par les 3 d'entre eux qui figurent de la manière la plus constante dans tous les documents parus depuis le début du présent siècle.
D'autant plus qu'au travers de la rédaction de l'article publié par le Canadian Medical Association Journal, nous avons pu apprendre un certain nombre de choses sur ceux qui en sont les rédacteurs.
A tout seigneur tout honneur, commençons par Mme le "Dr" Latino-Martel, grand prix de l'œnophobisme 2009, détrônée en 2010 par Mme Christelle Ballestrero, mais bien placée, à force de ténacité, pour récupérer le titre en cette année.
Cela pour la plus grande satisfaction de ceux qui pensent qu'elle devrait en être la détentrice perpétuelle en tant que papesse incontestable de la terrible obédience œnophobiste.
Concernant donc cette dame, les lecteurs du blog le savent depuis longtemps, nous aimerions bien connaître quelle est la nature de son doctorat et aussi pouvoir lire la thèse qui avait été soutenue par elle en vue d'obtenir ce diplôme.
Or, si nous n'avons pas encore atteint cet objectif, nous avons quand même appris, en consultant l'article soumis au CMAJ et plus particulèrement la liste des auteurs qu'un docteur en médecine voyait, dans les pays anglo-saxons, son nom précédé des lettres MD PhD, ce qui n'est pas le cas de Mme Martel.
Elle n'est donc pas titulaire d'un diplôme en médecine, encore moins en épidémiologie, de cancérologie ou de nutritionisme bien qu'elle semble être considérée dans certains milieux officiels comme en étant la référence absolue.
Cela ne l'empêche pas, posant souvent en blouse blanche, de revendiquer ce fameux titre de docteur, chose qui est contraire à l'usage en France.
En effet, celui-ci veut que seuls les docteurs en médecine, chirurgie dentaire, pharmacie et médecine vétérinaire portent habituellement leur titre de docteur : http://fr.wikipedia.org/wiki/Doctorat.
Mais il est vrai que cet usage, vestige d'un état ancien de la législation sur l'exercice illégal de la médecine, peut être légalement dédaigné. Cela permet d'entretenir parfois une confusion évidente, surtout quand à la blouse blanche s'ajoute un stéthoscope comme dans certaines photos illustrant certains articles ou interviews : http://www.lanutrition.fr/bien-dans-sa-sante/les-maladies/le-cancer/cancer-et-alimentation/l-alimentation-anti-cancer/lalimentation-entre-dans-une-demarche-globale-de-prevention-du-cancer.html.
Voilà : à défaut de connaître enfin quelle est la nature du doctorat de la personne qui signe en premier lieu des documents de grande importance dont certains, comme celui de l'ANSES, figurent sur un site gouvernemental, nous savons au moins quelle elle n'est pas : médicale.
Nous continuerons néanmoins de chercher à en savoir d'avantage.
Evidemment, si, chemin faisant, nous découvrons qu'il existe un titre de docteur en œnophobisme radical, nous n'irons pas chercher plus loin.
De même, s'il nous apparaît qu'il existe une chaire d'enseignement de cette matière, nous considèrerons comme résolue aussi la question posée du professorat de Mme Latino-Martel.
Laquelle question se pose aussi de temps en temps.
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