À propos de l'"étude" «Do "Moderate" Drinkers Have Reduced Mortality Risk? A Systematic Review and Meta-Analysis of Alcohol Consumption and All-Cause Mortality».
On remarquera tout d'abord qu'elle est publiée dans le «Journal of Studies on ALCOHOL and DRUGS»... ce qui en dit long sur le contexte. On notera ensuite que sur 5 auteurs, 3 sont affiliés soit au «Centre for Addictions Research of BC, University of Victoria, Victoria, British Columbia, Canada», soit au «National Drug Research Institute, Curtin University, Perth, WA 6845, Australia», soit aux deux... ce qui en dit long sur l'intention d'origine. Et sur les financements... de premier niveau !
On voit ensuite que le travail a constitué à discréditer en deux étapes 2259 études sur les 2262 consacrées au sujet traité pour n'en retenir que 13. Épuration : environ 99,4%. Quand même inquiétant concernant la crédibilité de l'immense majorité des études publiées, et ceci de manière générale ! Et les 13 survivantes (0,6%), par un heureux hasard, ont permis d'atteindre le but recherché... mais en partie très limité puisque a été ainsi seulement "démontrée" la nécessité de rester sceptique quant à l'affirmation d'un effet positif... mais pas vraiment l'absence d'effet positif. Et encore moins tout effet négatif.
On remarquera tout d'abord qu'elle est publiée dans le «Journal of Studies on ALCOHOL and DRUGS»... ce qui en dit long sur le contexte. On notera ensuite que sur 5 auteurs, 3 sont affiliés soit au «Centre for Addictions Research of BC, University of Victoria, Victoria, British Columbia, Canada», soit au «National Drug Research Institute, Curtin University, Perth, WA 6845, Australia», soit aux deux... ce qui en dit long sur l'intention d'origine. Et sur les financements... de premier niveau !
On voit ensuite que le travail a constitué à discréditer en deux étapes 2259 études sur les 2262 consacrées au sujet traité pour n'en retenir que 13. Épuration : environ 99,4%. Quand même inquiétant concernant la crédibilité de l'immense majorité des études publiées, et ceci de manière générale ! Et les 13 survivantes (0,6%), par un heureux hasard, ont permis d'atteindre le but recherché... mais en partie très limité puisque a été ainsi seulement "démontrée" la nécessité de rester sceptique quant à l'affirmation d'un effet positif... mais pas vraiment l'absence d'effet positif. Et encore moins tout effet négatif.
Cela est laissé à l'interprétation des marchands d'espaces publicitaires soucieux de complaire aux boissons autorisées à faire appel à leurs services. Et qui sont les plus à même de tenter de conditionner l'opinion, évidemment : c'est leur métier !
Pour terminer, offrons à nos lecteurs une traduction certifiée de la critique réalisée par l'International Scientific Forum on Alcohol Research (Boston University School of Medecine) : [Boston 183].
Et voici le texte d'origine : http://www.bu.edu/alcohol- forum/critique-183-an-unusual- analysis-of-the-association- of-alcohol-consumption-with- mortality-24-march-2016/.
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