Entre Noël et le jour de l'an, nous tentons habituellement de nous conformer à la coutume et d'offrir quelques menus cadeaux à nos lecteurs sous forme de quelques informations positives.
Ou de quelques bonnes nouvelles récentes que nous n'avons pas eu le temps de communiquer auparavant pour cause de "tête dans le guidon".
Ne dérogeons pas et n'hésitons pas à monter en puissance : l'année dernière il y en avait eu une, cette année il y en aura quatre : c'est Byzance !
1) Tout d'abord, pour ceux qui n'en aurait pas encore connaissance, il est très instructif et bien agréable de lire cet article : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Vin_et_culture.
Insistons particulièrement sur un point qui apparaît dès l'introduction : dans nos contrées, le théâtre est né du culte du vin.
Il est intéressant, nous semble-t-il, de mettre en évidence un parallèle entre ces deux faits culturels.
En effet, comme c'est actuellement le cas pour le vin, le théâtre a longtemps subi l'ostracisme et la diabolisation.
Et puis, l'obscurantisme reculant, cette stigmatisation a cessé.
Est-ce un signe avant-coureur ?
Les ténèbres vont-elle continuer à se dissiper ?
Les défenseurs du divin breuvage sont-ils autorisés à entrevoir le moment où ils pourront enfin se reposer ?
2) Une information récente : la chaîne Quick est passée au privé !
http://www.lemonde.fr/entreprises/article/2015/12/17/le-rachat-de-quick-conclu-par-burger-king-france_4834303_1656994.html.
En effet, le vendeur, Qualium Investissements, est une filiale de la Caisse des Dépots et Consignations, laquelle est une émanation de l'État.
Or l'histoire de l'alimentation depuis 60 ans monte clairement que si s'éloigner du vin c'est se rapprocher de la malbouffe, l'inverse est également vrai.
"Vice versa", selon l'expression consacrée.
La malbouffe étant un vice et le vin étant versable.
3) Tant que nous sommes sur ce sujet, fêtons le fait que «la stratégie de désinformation de Coca-Cola tombe à l'eau» : http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/12/02/24364-obesite-strategie-desinformation-coca-cola-tombe-leau.
4) Vient également de tomber à l'eau la menace de "minimum pricing" au terme d'un très récent arrêt de la Cour de Justice de l'Union Européenne : http://curia.europa.eu/jcms/upload/docs/application/pdf/2015-12/cp150155fr.pdf.
Bien entendu, certaines considérations concomitantes sont désagréables à lire, mais nous avons des réponses que nous développerons plus tard : n'oublions pas que nous sommes en période de fêtes, quand même !
Des fêtes de fin d'année que nous vous souhaitons excellentes, amis lecteurs... tout en préconisant à chacun d'éviter les abus afin de ne pas les gâcher.
Et aussi d'avoir une pensée compassionnelle envers tous ceux auxquels l'abstinence s'impose, et cela pour quelque motif que ce soit.
lundi 28 décembre 2015
mardi 22 décembre 2015
Excuse et fêtes
Nous approchons des fêtes de fin d'année, c'est à dire d'une période où traditionnellement et parce qu'elle suppose une dose certaine d'agressivité, nous suspendons pour quelques jours l'activité qui fait notre spécificité : la défense contre-attaquante.
Une activité que nous exerçons au bénéfice du vin, bien entendu.
Et au détriment de ceux qui en dénigrent tout usage.
Cela pour des raisons que nous pensons avoir identifiées...
Mais avant de l'entamer, cette période, nous devons réparer un oubli.
En fait, il convient plutôt de parler d'omission involontaire.
Que nous prions les lecteurs de bien vouloir excuser.
De quoi s'agit-il ?
D'un courrier qui date de nettement plus d'un mois, précisément du 9 novembre dernier, c'est à dire en pleine bagarre parlementaire autour d'un amendement dont nous avons beaucoup parlé et dont nous reparlerons encore.
Ce courrier, le voici (liste des députés signataires en fin de page) : CLICK.
Cette lettre a été adressée à Mme Marisol Touraine, ministre de la Santé, mais on peut légitimement se demander si elle lui est parvenue malgré les filtres mis en place par le lobby cocacollaborationiste qui règne en maître dans le ministère que cette dame est censée gérer... comme bien d'autres avant elle !
Mais ce qui rend cette action particulièrement notable c'est que copie de ladite missive a été adressée à la présidente de la commission des Affaires Sociales de l'Assemblée Nationale, Mme Catherine Lemorton.
Celle-ci appartenant au même parti que les députés signataires du courrier évoque... mais ne partageant absolument pas leur point de vue concernant le traitement qui doit être appliqué au "divin breuvage".
D'où l'intérêt de la démarche.
Une démarche dont, du fond du cœur, les défenseurs du vin remercient ces députés !
Sans que ne doivent être oubliés, bien entendu, tous les parlementaires de toutes sensibilités et toutes opinions qui se sont régulièrement impliqués dans le même combat et cela tout au long de l'année qui s'achève.
Et maintenant que cet oubli est réparé, changeons de registre et passons au bon temps : EXCELLENTES FÊTES DE FIN D'ANNÉE À NOS LECTEURS ET À TOUS LES DÉFENSEURS DU VIN !!!
Sans abus, bien entendu...
Une activité que nous exerçons au bénéfice du vin, bien entendu.
Et au détriment de ceux qui en dénigrent tout usage.
Cela pour des raisons que nous pensons avoir identifiées...
Mais avant de l'entamer, cette période, nous devons réparer un oubli.
En fait, il convient plutôt de parler d'omission involontaire.
Que nous prions les lecteurs de bien vouloir excuser.
De quoi s'agit-il ?
D'un courrier qui date de nettement plus d'un mois, précisément du 9 novembre dernier, c'est à dire en pleine bagarre parlementaire autour d'un amendement dont nous avons beaucoup parlé et dont nous reparlerons encore.
Ce courrier, le voici (liste des députés signataires en fin de page) : CLICK.
Cette lettre a été adressée à Mme Marisol Touraine, ministre de la Santé, mais on peut légitimement se demander si elle lui est parvenue malgré les filtres mis en place par le lobby cocacollaborationiste qui règne en maître dans le ministère que cette dame est censée gérer... comme bien d'autres avant elle !
Mais ce qui rend cette action particulièrement notable c'est que copie de ladite missive a été adressée à la présidente de la commission des Affaires Sociales de l'Assemblée Nationale, Mme Catherine Lemorton.
Celle-ci appartenant au même parti que les députés signataires du courrier évoque... mais ne partageant absolument pas leur point de vue concernant le traitement qui doit être appliqué au "divin breuvage".
D'où l'intérêt de la démarche.
Une démarche dont, du fond du cœur, les défenseurs du vin remercient ces députés !
Sans que ne doivent être oubliés, bien entendu, tous les parlementaires de toutes sensibilités et toutes opinions qui se sont régulièrement impliqués dans le même combat et cela tout au long de l'année qui s'achève.
Et maintenant que cet oubli est réparé, changeons de registre et passons au bon temps : EXCELLENTES FÊTES DE FIN D'ANNÉE À NOS LECTEURS ET À TOUS LES DÉFENSEURS DU VIN !!!
Sans abus, bien entendu...
mardi 15 décembre 2015
C’est mal ?
C'est mal de mettre en garde contre la consommation excessive ?
2 verres maximum pour les femmes.
3 pour les hommes.
4 en une occasion exceptionnelle.
0 un jour par semaine.
En tout cas, bien que très souvent grassement payés pour sauvegarder la santé des citoyens, les œnophobistes ne le font pas.
Et quand une vaillante association comme Vin & Société s'y attelle(http://2340.vinetsociete.fr/sites/default/files/CP%20National_campagne-reperes_Vin_et_Societe.pdf), quel scandale !
Alors que la structure "Entreprise et Prévention" le fait depuis des années : http://2340.fr... et qu'on a jamais enregistré un tel volume de réactions.
Il faut dire que dans cette organisation siègent la plupart des productions d'autres boissons alcoolisées comme surtout la Fédération Française des Spiritueux, actuellement présidée par Mme Hénin-Badoinot (Bacardi) : http://2340.fr/qui-sommes-nous/.
Laquelle partage avec les ci-dessus cités œnophobistes l'objectif affiché de faire exploser la fiscalité sur le vin.
Et cela depuis bien longtemps puisque son ancien président disait déjà en 2010 que la FFS le demandait «depuis plusieurs années». Lire la dernière phrase de ce communiqué : <span style="border:0px;font-family:inherit;font-style:inherit;fon
2 verres maximum pour les femmes.
3 pour les hommes.
4 en une occasion exceptionnelle.
0 un jour par semaine.
En tout cas, bien que très souvent grassement payés pour sauvegarder la santé des citoyens, les œnophobistes ne le font pas.
Et quand une vaillante association comme Vin & Société s'y attelle(http://2340.vinetsociete.fr/sites/default/files/CP%20National_campagne-reperes_Vin_et_Societe.pdf), quel scandale !
Alors que la structure "Entreprise et Prévention" le fait depuis des années : http://2340.fr... et qu'on a jamais enregistré un tel volume de réactions.
Il faut dire que dans cette organisation siègent la plupart des productions d'autres boissons alcoolisées comme surtout la Fédération Française des Spiritueux, actuellement présidée par Mme Hénin-Badoinot (Bacardi) : http://2340.fr/qui-sommes-nous/.
Laquelle partage avec les ci-dessus cités œnophobistes l'objectif affiché de faire exploser la fiscalité sur le vin.
Et cela depuis bien longtemps puisque son ancien président disait déjà en 2010 que la FFS le demandait «depuis plusieurs années». Lire la dernière phrase de ce communiqué : <span style="border:0px;font-family:inherit;font-style:inherit;fon
mardi 8 décembre 2015
Impolitesse
Introduction
Tout se passe comme si les œnophobistes les plus radicalisés considéraient que le vin est l'œuvre du diable.
Et donc que ceux qui le défendent sont démoniaques.
Et qu'il faut absolument éviter de leur adresser la parole.
Ne serait-ce même que pour leur répondre.
Quitte à faire fi de la moindre parcelle de bonne éducation.
Ce qui est un symptôme typique de fanatisation.
Actualité
Regarder cet extrait du journal télévisé "Le Grand Soir" (France 3, 03/12/2015) :Il est clair que l'augmentation des températures favorise l'augmentation de la consommation de bière, n'est-ce pas ?
Et pas de vin rouge.
À notre avis, une étude menée sur ce point révélerait même l'effet inverse..
Rappel
Nous avons en juillet dernier mis en évidence le ciblage du vin par l'INPES dans le cadre des avertissements donnés aux français confrontés au phénomène de chaleur excessive et de longue durée.
Voir notre article "Canicule".
Sectarisme impoli
Il y a 3 mois, nous avons écrit à M. Bourdillon, directeur de l'INPES la lettre que le lecteur trouvera en bas de page.
Lettre confirmée par courriel quelques jours plus tard.
Sans réponse après 6 semaines, nous avons rappelé cette interpellation au secrétariat de M. Bourdillon.
Toujours rien à ce jour.
Bel exemple de la conception du dialogue chez les ennemis du vin !
Cela étant dit, nous ne sommes pas surpris : nous avions pu constater il y a quelques années leur refus de participer au Conseil de Modération et Prévention, instance de concertation dont ils ont fini par avoir la peau...
La lettre à M. Bourdillon
François Bourdillon
Directeur général de l’INPES
INPES- 42, bd de la Libération
93203 Saint Denis Cedex
Objet : Observation concernant la campagne d’information de l’INPES durant l’épisode de canicule au cours de l’été 2015
Paris, le 09 septembre
Monsieur le Directeur Général,
Au nom de l’association l’Honneur du vin, nous souhaitions vous faire part d’une observation relevée par certains de nos membres concernant la dernière campagne d’information sur la canicule diffusée en juillet dernier.
Durant ce spot télévisé, relayé également sur Internet, vous donnez aux citoyens de nombreux conseils pour prévenir les risques liés à une température particulièrement élevée. Vous suggérez ainsi de ne pas boire d’alcool. Si ce conseil répond à un enjeu de prévention que nous comprenons et partageons parfaitement, vous illustrez cette information uniquement par un verre de vin rouge barré. Cette représentation graphique d’un verre de vin est censée représenter l’ensemble des alcools. Certains de nos membres ne comprennent pas pourquoi le vin est la boisson alcoolisée qui sert à elle seule d’illustration quand il s’agit de représenter la consommation excessive d’alcool ou la nécessité de s’abstenir de consommer dans ces circonstances particulières comme l’est la canicule.
D'autant plus que, selon toute les enquêtes de consommation, le vin ne fait pas partie des boissons alcoolisées dont les ventes augmentent en période de fortes chaleurs.
Par ailleurs, nous avons noté que, dans un document intitulé «Vague de chaleur : recommandations pour la population», votre ministère de tutelle recommande également d'«éviter sodas et autres boissons sucrées» ainsi que «les boissons à forte teneur en caféine» (document joint).
Concernant les sodas et autres boissons sucrées, notant au passage que les principales entreprises qui les produisent sont adhérentes à un syndicat national qui s'intitule «des boissons rafraîchissantes» (!), nous nous permettons de vous rappeler qu'il s'agit de liquides beaucoup plus fréquemment absorbés par les enfants que les boissons alcoolisées.
N'aurait-il pas été bon d'informer leurs parents au travers de tous les supports que vous avez utilisés ?
Nous espérons donc qu'il vous sera possible tenir compte de ces remarques dans vos prochaines campagnes d’information.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Directeur général, etc..., etc...
Documents joints à cette lettre :
Vague de chaleur : recommandation pour la population par le Ministère des Affaires Sociales, de la Santé et des Droits des femmes. http://www.sante.gouv.fr/vague-de-chaleur-recommandations-pour-la-population.html
Page d'accueil du Syndicat National des Boissons Rafraîchissantes. http://www.boissonsrafraichissantes.com/
Tout se passe comme si les œnophobistes les plus radicalisés considéraient que le vin est l'œuvre du diable.
Et donc que ceux qui le défendent sont démoniaques.
Et qu'il faut absolument éviter de leur adresser la parole.
Ne serait-ce même que pour leur répondre.
Quitte à faire fi de la moindre parcelle de bonne éducation.
Ce qui est un symptôme typique de fanatisation.
Actualité
Regarder cet extrait du journal télévisé "Le Grand Soir" (France 3, 03/12/2015) :Il est clair que l'augmentation des températures favorise l'augmentation de la consommation de bière, n'est-ce pas ?
Et pas de vin rouge.
À notre avis, une étude menée sur ce point révélerait même l'effet inverse..
Rappel
Nous avons en juillet dernier mis en évidence le ciblage du vin par l'INPES dans le cadre des avertissements donnés aux français confrontés au phénomène de chaleur excessive et de longue durée.
Voir notre article "Canicule".
Sectarisme impoli
Il y a 3 mois, nous avons écrit à M. Bourdillon, directeur de l'INPES la lettre que le lecteur trouvera en bas de page.
Lettre confirmée par courriel quelques jours plus tard.
Sans réponse après 6 semaines, nous avons rappelé cette interpellation au secrétariat de M. Bourdillon.
Toujours rien à ce jour.
Bel exemple de la conception du dialogue chez les ennemis du vin !
Cela étant dit, nous ne sommes pas surpris : nous avions pu constater il y a quelques années leur refus de participer au Conseil de Modération et Prévention, instance de concertation dont ils ont fini par avoir la peau...
La lettre à M. Bourdillon
François Bourdillon
Directeur général de l’INPES
INPES- 42, bd de la Libération
93203 Saint Denis Cedex
Objet : Observation concernant la campagne d’information de l’INPES durant l’épisode de canicule au cours de l’été 2015
Paris, le 09 septembre
Monsieur le Directeur Général,
Au nom de l’association l’Honneur du vin, nous souhaitions vous faire part d’une observation relevée par certains de nos membres concernant la dernière campagne d’information sur la canicule diffusée en juillet dernier.
Durant ce spot télévisé, relayé également sur Internet, vous donnez aux citoyens de nombreux conseils pour prévenir les risques liés à une température particulièrement élevée. Vous suggérez ainsi de ne pas boire d’alcool. Si ce conseil répond à un enjeu de prévention que nous comprenons et partageons parfaitement, vous illustrez cette information uniquement par un verre de vin rouge barré. Cette représentation graphique d’un verre de vin est censée représenter l’ensemble des alcools. Certains de nos membres ne comprennent pas pourquoi le vin est la boisson alcoolisée qui sert à elle seule d’illustration quand il s’agit de représenter la consommation excessive d’alcool ou la nécessité de s’abstenir de consommer dans ces circonstances particulières comme l’est la canicule.
D'autant plus que, selon toute les enquêtes de consommation, le vin ne fait pas partie des boissons alcoolisées dont les ventes augmentent en période de fortes chaleurs.
Par ailleurs, nous avons noté que, dans un document intitulé «Vague de chaleur : recommandations pour la population», votre ministère de tutelle recommande également d'«éviter sodas et autres boissons sucrées» ainsi que «les boissons à forte teneur en caféine» (document joint).
Concernant les sodas et autres boissons sucrées, notant au passage que les principales entreprises qui les produisent sont adhérentes à un syndicat national qui s'intitule «des boissons rafraîchissantes» (!), nous nous permettons de vous rappeler qu'il s'agit de liquides beaucoup plus fréquemment absorbés par les enfants que les boissons alcoolisées.
N'aurait-il pas été bon d'informer leurs parents au travers de tous les supports que vous avez utilisés ?
Nous espérons donc qu'il vous sera possible tenir compte de ces remarques dans vos prochaines campagnes d’information.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Directeur général, etc..., etc...
Documents joints à cette lettre :
Vague de chaleur : recommandation pour la population par le Ministère des Affaires Sociales, de la Santé et des Droits des femmes. http://www.sante.gouv.fr/vague-de-chaleur-recommandations-pour-la-population.html
Page d'accueil du Syndicat National des Boissons Rafraîchissantes. http://www.boissonsrafraichissantes.com/
vendredi 4 décembre 2015
Bataille sémantique
«Lutte que suscitent les mots communs aux deux camps [d’une controverse] lorsque les débatteurs s’appliquent à faire triompher leur sens et leur définition, contre le sens et la définition antagonistes».
(Juliette Rennes)
(Juliette Rennes)
mardi 1 décembre 2015
COP21
«Île flottante émulsion de cèpe, en entrée, suivie d’un poisson sauvage de Bretagne au romarin, accompagné de pommes de terre confites de Noirmoutier au jus de crustacés. Vieux Comté, Roquefort, Brie de Meaux et cabri du Poitou sur l’assiette de fromage. Et pour dessert, la spécialité de la maison : une tarte fine sablée au cacao. Le tout arrosé de Bourgogne blanc, Bordeaux rouge et vin de Banyuls.»
http://www.20minutes.fr/planete/1741175-20151201-diner-3-etoiles-place-vosges-hollande-obama
À l'occasion de la COP21 le président de la République Française tente-t-il d'assassiner Barack Obama par inoculation du cancer ?
C'est dans doute la question que doivent se poser l'INCa, l'ANPAA, l'APA, la FFA, la SFA, et cætera, et cæcoca...
En effet, hier soir, François Hollande a amené dîner son homologue américain dans un restaurant parisien bien connu, l'Ambroisie, un de ces lieux de perdition où l'on sert encore du vin !
Heureusement que ces deux présidents se fient probablement d'avantage aux rapports et études internationaux qu'à la littérature prohibitionniste française... car du coup tout s'est bien passé dirait-on.
http://www.20minutes.fr/planete/1741175-20151201-diner-3-etoiles-place-vosges-hollande-obama
À l'occasion de la COP21 le président de la République Française tente-t-il d'assassiner Barack Obama par inoculation du cancer ?
C'est dans doute la question que doivent se poser l'INCa, l'ANPAA, l'APA, la FFA, la SFA, et cætera, et cæcoca...
En effet, hier soir, François Hollande a amené dîner son homologue américain dans un restaurant parisien bien connu, l'Ambroisie, un de ces lieux de perdition où l'on sert encore du vin !
Heureusement que ces deux présidents se fient probablement d'avantage aux rapports et études internationaux qu'à la littérature prohibitionniste française... car du coup tout s'est bien passé dirait-on.
Inscription à :
Articles (Atom)